bonjour,
j'ai travaillé sur les cartouches. Quand on remplit un chargeur avec des catouches de marques différentes, il est naturel de terminer la boîte de marque A , par exemple, avant de d'entamer la boite de marque B. Tout le monde fait ça. Personne n'aurait l'idée de mettre une cartouche A puis B, alternativement. or, dans cette affaire, les quelques douilles trouvées sont indiquées LC, les cartouches pleines WCC. Cela revient à dire que les WCC étaient au fonds du chargeur, le LC au début. Bien sûr, cela ne veut pas dire forcément que toutes les cartouches tirées sont des LC et toutes les pleines des WCC, puisqu'on ne les a pas toutes retrouvées.
Je pense qu'il existe une fort hypothèse pour que l'assassin, à la suite de l'enrayage de l'arme (car, je le répète, une cartouche non chambrée, coincée dans l'arme a été retrouvée par par les enquêteurs), ait tenté de réarmer , expulsant une cartouche neuve à chaque fois.
La cartouche trouvée coincée était un WCC, ce qui paraît logique.
à la suite de quoi, il ne restait plus qu' à l'assassin de d'assommer la fillette.
Il est dommage que nous ne disposions pas d'un constat, d'un témoignage de sortie de l'eau de la carabine; les pv de l'expert l'ajudant-chef perrin ) me semblant tronquée. C'est plutôt une conclusion et il devrait parler de fil de fer, présent au mois de novembre.
Ce n'est pas tout : des journalistes étaient présents lors de la sortie de l'eau de la carabine. A-t- on un journal ne parlant pas du collier ? Tous le articles sont datés du lendemain.
Autre chose encore : c'est paraît-il la gendarmerie de Foracalquier qui a posé le fil de fer. C"est curieux, vu que c'est la police, chargée de l'enquête, qui a trouvé la carabine. Curieux tout ça...
_________________ je m'efforce ce voir clair dans cette affaire
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