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Pour finir, le fait qu'il soit descendu rend plus compréhensible ceci :
- qu'ils ne disent rien à Martinez : "merde, que fait on ??". Sous le choc, rien... ils ne disent rien.
- qu'ils fassent le rapprochement avec l'enlèvement
Je précise ma pensée.
Le fait qu'il soit descendu et ait vu qq chose de pas catholique rend plus compréhensible le fait que les aubert ne parlent pas à Martinez de ce qu'ils viennent de voir.. S'ils avaient réellement vu l'hom sortir, emmener un enfant et rien d'autre, ils l'auraient dit, on l'auraient tous dit.
Or, là, rien, numéro confirmé (ou pas), c'est tout. Au revoir.
Je me range à ton avis, cela signifie que pendant deux ou trois minutes, il est sorti de la voiture et qu'il a essayer de voir ce qui se passait plus haut, mais ce qui me chiffonnait c'est qu'ils n'aient pas aperçu Ranucci dans sa voiture. C'est qu'il ne se sont pas arrêtés tout à côté, mais qu'ils se sont arrêtés là où ils ont aperçu une silhouette. Ont-ils vu cette silhouette après et Aubert a-t-il cherché à savoir de quoi il s'agissait... ?
C'est vrai que quelque chose colle dans leur conduite s'ils sont mis en présence de quelque chose qu'ils ne comprennent pas.
Mettons qu'ils voient la 304 arrêtée sur le bord et que 50 ou 100 mètres plus loin, ils aperçoivent un homme qui monte le talus, ou qui s'y trouve déjà.
Cbien y a t il de chances qu'ils pensent d'emblée que ce soit le conducteur ? Surtout si cet inconnu, les voyant arriver, s'arrête, les regarde et s'enfuit qd il les voit ralentir..
Elles sont selon moi fortes.
A partir de là, ils peuvent "oublier" la voiture et ne se concentrer que sur cette silhouette.
Si en plus, on accepte l'hypothèse selon laquelle Aubert est monté et a vu qq chose de tordu là haut, il est compréhensible que, passant à nouveau à qq mètres de la 304, ils n'aient aucune raison d'essayer de voir à l'intérieur (à fortiori, en roulant..).