Citation :
Dans « CR 20 ans après » elle raconte : « Je rentrai à Nic, chez moi, seule, ce soir là, avec la voiture de mon fils qu me fut rendue après les examens. Aucune empreinte ne fut relevée. Ce fut un journaliste qui la conduisit. Il la plaça dans le garage. En fermant la porte, il me remit les clés. Il était plus de 22 heures. Cependant, lorsque deux policiers de Nice vinrent le lendemain, ils me demandèrent de leur remettre la voiture pour la ramener à Marseille. Tous trois nous nous rendîmes au garage, la voiture n’y était plus. Pendant la nuit, sans me demander les clés, les policiers de Marseille l’avaient enlevée. Je ne sais si ce fait est légal, beaucoup pourraient en juger à ma place et refléchiraient aussi. »
Je rappelle à ceux qui enquêtent sérieusement sur ce site que le lendemain du 7 juin…c’est le huit juin.
Cela ne semble pas avoir frappé Gilles PERRAULT ni Gihel qui situent cet évènement au lundi 10 juin de façon tout à fait arbitraire.
Il est vrai que c’est moins gênant de déplacer les fait le lundi 10 juin car ce jour là, le coupé Peugeot 304 est bien dans le box de RANUCCI.
Mais le 8 juin au matin, il n’y est pas et ce n’est pas parce que les policiers de Marseille l’ont volé la nuit. Même s’ils avaient voulu le faire, ils n’auraient pas pu car le coupé Peugeot n’était pas dans le box cette nuit-là. Il était entre les mains de Christian CHARDON, le journaliste qui avait ramené Mme MATHON à Nice pour pouvoir faire un reportage sur la mère de CR. Arrivé à Nice, il a demandé à Mme MATHON de lui laisser la voiture jusqu’au lendemain matin. Et c’est seulement le lendemain matin qu’il l’a ramenée. La veille il avait mangé au centre de Nice avec l’avocat GUERRAZ .
CHARDON journaliste écrira : « Elle (Mme MATHON) s’était souvent plainte de l’allure à laquelle je roulais. Elle avait peur de la vitesse. Je l’avais déposée devant chez elle mais j’avais gardé le coupé Peugeot 304 de son fils pour rejoindre Nice où je devais me rendre ( le domicile de Mme MATHON est excentré par rapport au centre ville) Ce n’est que le lendemain matin que je le lui ai restitué . Nous avons encore eu un long entretien. »
Dire que la voiture a été saisie dans la nuit du dimanche 9 au lundi 10 est totalement fantaisiste et contraire aux dates que donne Mme MATHON. Et cette voiture a été saisie normalement le 10 juin par les policiers de la sûreté urbaine de Nice (J’ai retrouvé celui qui l’a conduite jusqu’au commissariat de Nice et j’ai longuement discuté avec lui) même si un policier de Marseille a fait une erreur de date sur un procès-verbal.
Mme Mathon commet une erreur de date visiblement, elle oublie des faits : avoir prêté la voiture de Christian à M. Chardon, chose qu'effectivement je ne savais pas. Et l'on voudrait prétendre que nous avançons des dates arbitrairement.
Mais ce n'est pas le cas, nous nous servons pour cela de DEUX PV. Deux PV parfaitement contradictoires l'un avec l'autre. Le premier prétend que la voiture a été ramenée le 9 à Marseille et le deuxième qu'elle a été saisie le 10 à Nice. Comment peut-on saisir à Nice une voiture qui se trouve DEJA à Marseille ? Voilà la bonne question.
Moi j'aimerais bien discuter avec le policier qui a ramené la voiture le dimanche, où vous reconnaissez qu'elle s'y trouvait bien. Je lui dirais en face, bien entendu vous étiez venu cherche le pantalon mon ami. Pourquoi venir un dimanche ? Pourquoi ne pas demander à Mme Mathon d'être présente comme le prévoit le Code de Procédure Pénale ? Pourquoi être seul lorsque vous saisissez cette voiture ? Ce qui viole ledit Code.
Allons.