Citation :
c'était quand même un point extrêmement important.
On en a déjà parlé
C'est quand même fort dommage et gênant que di Marino n'ait pas noté dans son PV de reconstitution cette phase de la reconnaissance.
Que voulez-vous, je ne suis pas madame Di Marino. Je ne peux que regretter comme vous qu'elle n'ait pas noté tout ça en détail, et mené ses reconstitutions autrement. Je me serais sûrement préoccupé de tout un tas de choses qui ne semblaient pas l'intéresser, comme ce qu'étaient devenus les vêtements et comment il s'était nettoyé. Il n'aurait peut-être pas refusé de coopérer, car il n'y a que sur le meurtre lui-même qu'il s'est bloqué ; ensuite, il s'est repris, puisqu'il a montré l'emplacement du couteau et donné sa version dans la galerie.
Citation :
Est ce que M ou/et Mme Aubert ont eu le temps de bien voir Ranucci au carrefour ? de même, ont ils eu réellement le temps de voir en face le type qui s'enfuyait dans les fourrés ? c'était quand même important de pouvoir s'assurer que c'était bien le même homme.
Ca parait logique pour certains mais c'aurait été mieux de l'établir de maniêre certaine.
Non, ça n'est pas que logique : c'est écrit noir sur blanc dans le premier appel aux gendarmes et la déposition de monsieur Aubert du 6 juin : c'est le même homme. C'est indiscutable sur le plan syntaxique. C'est peut-être une erreur de monsieur Aubert, ou de rédaction, mais c'est ce qui est écrit.
Citation :
on n'en sait rien du tout. Il y a un vrai flou artistique. Ca a été totalement occulté.
C'est étonnant parce que ça semble couler de source quand on lit l'interview de M Aubert 30 ans aprês les faits.
Quand on lit ce qu'il dit aux gendarmes le 4 juin et aux policiers le 6 juin aussi.
Citation :
Quand on sait pourtant qu'il y a eu deux présentations de Ranucci aux Aubert à l'Evêché le 6 juin.
Un tapissage pour l'identifier (à 13 heures) et une confrontation directe pour le faire craquer (à 14 heures), oui. Je ne vois rien de louche là -dedans.
Citation :
En 30 ans, M et Mme Aubert ont surement eu le temps de se faire à l'idée que Ranucci était bien le coupable pour ne pas heurter leur conscience
... ou, si ça se trouve, parce qu'ils l'avaient vu tirer violemment un enfant par le bras et l'entraîner dans les fourrés.