Citation :
Dans ses aveux, Christian disait avoir senti une odeur de brûlé. "Le pneu qui frottait contre l'aile faisait un bruit d'enfer" et justifiait ainsi son arrêt en bordure de route.
Dans son récapitulatif, il précisait simplement: "la commotion due au choc de l'accrochage ne me permit pas de me rendre plus loin; en effet, lorsque, peu après, j'arrêtai ma 304, je tombai complètement dans les pommes..."
Peut-être y-a-t-il eu conjonction des deux. Le pneu, ça semble certain, puisqu'il a dû le changer, l'évanouissement, c'est possible aussi...
Donc cet arrêt sentant l'évanouissement venir, avec éventuellement homme au pull over-rouge au bord de la route (oublié, hypothèse crime ayant déjà eu lieu) ou homme au pull over-rouge arrivant après (rejoint Marie-Dolorès RAMBLA dans l'hypothèse du crime qui va avoir lieu). Il me paraît ensuite très probable que la 304 ne reste que peu de temps arrêtée sur la route, et donc que l'homme au pull over-rouge y monte (par une des 2 portes selon que l'on accepte ou non la portière déjà coincée : non coincée d'après Guazzone et la position dans le garage à Nice -> il faudrait que les Cotto ou J-M Ivars confirment) et la conduit dans la galerie.
Dans l'hypothèse où Christian Ranucci commet le crime, non seulement la 304 reste sur la route trop de temps pour que cela n'ait pas été signalé le 3, 4 ou 5 juin, mais ensuite il doit donc réparer et "se cacher".
J'ai montré aujourd'hui le film du parcours Lieu du crime / deuxième entrée champi, à des collègues, en les laissant observer puis en leur expliquant la situation (après crime, chercher à se cacher + compte tenu frottement carosserie/pneu); ils m'ont tous dit qu'ils auraient pris la première entrée ...
Pou rappel, si on prend la deuxième, cela me paraît impossible d'aller sans connaître dans la galerie, mais j'aimerais bien avoir l'avis d'autres personnes s'étant rendu sur les lieux.