Citation :
[...]
Il y avait un médecin légiste lors de la levée du corps, il a obligatoirement vu les traces au cou.
Oui, c'était même le Dr Vuillet. Je suis bien d'accord, il aurait du voir les traces dans le cou.
Citation :
Allons arlaten faut êtres sérieux quand même, le 5 ils ont eus 3heurs pour nettoyaient le corps avant que Mr rambla vienne reconnaître sa petite fille nous avons a faire a des professionnelle de la crime quand méme
ils savent très bien reconnaître des blessures de coups de couteau, surtout aux nombres de 15 ils savent très bien dés le 5 que la petite a été assassinait avec un couteau ils n'ont pas attenduent le docteur veuillet pour le savoir
Mais je suis sérieux Bruno.......
Ce que tu appelles les
professionnels de la crime , ce sont les gendarmes et si Di Marino leur a dit de ne rien toucher, je suis sûr et tu peux l'être, ils n'ont rien touché.
A l'heure où tout le monde (Juge, légiste, policiers, pompiers....) rapplique dans le bois de Peypin, il y a aussi une foule de journalistes et il me semble impossible qu'une information pareille ai pu leur échapper.
Passe encore, admettons que le 5 sur le lieu du crime, ils n'ont pas pu savoir. Ce n'est donc pas dans les journaux du 6 au matin.
Mais le 6 au matin justement, tous les journalistes sont là dans les couloirs de l'Evêché. Forcement, puisqu'ils savent que Ranucci a été ramené de Nice. Comment ce fait-il que dans la matinée du 6, les journalistes n'ont pas appris que la fillette avait été poignardée, puisque cette information n'apparaît pas dans les journaux qui paraissent le 6 en soirée (bouclage autour de midi)
Vuillet a dit à Gérard Bouladou que c'est lui qui a appris à Porte, pendant les aveux de Ranucci, que la fillette avait été poignardée.
Il y a un élément qui me laisse penser que cela est vrai.
Si les policiers avaient su dès le 5 comment été morte la gosse, au moment du 1er intérrogatoire à l'Evêché, vers 1h30 du matin, ils auraient pu ou du faire le lien avec l'opinel puisqu'ils l'avaient saisi.
Eh bien non, il ne posent aucune question sur l'opinel à Ranucci.