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Après cette recherche on va se retrouver devant deux cas de figures.
Le premier : on ne retrouve aucune trace de cette Simca, avec le morceau de la plaque relevée par Mme Mattéi, et là on fait choux blanc. On pourra lire "vous voyez Mme Mattéi a menti" ou "Mme Mattéi a pu se tromper de numéro"
En effet peu d'autres conclusions à en tirer.
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Le deuxième : on retrouve cette trace et là on fait quoi? on met sur le dos de son propriétaire les dires de Mme Mattéi sans plus de preuves. Ca revien à faire porter le chapeau à Fourniret dans cette affaire, le procédé est le même.
On trouvera alors le nom du propriétaire de cette voiture à l'époque et le rechercher, puis l'interroger.
Si la personne peut prouver qu'elle ne se trouvait pas dans les BdR en juin 1974 où qu'elle a prêté sa voiture à quelqu'un, ou que sa voiture a été volée, ... Pourquoi lui mettre l'enlèvement ... sur le dos ?
Par contre s'il s'avère qu'elle se trouvait bien dans les BdR en juin 1974, il faudrait prouver qu'elle était bien à la cité Ste-Agnès...
Quoi qu'il en soit, ça permettrait de faire aboutir cette piste de la Simca jamais élucidée.