Citation :
Henri a écrit
Nous sommes en train de discuter du moment où les policiers, suite aux "aveux", doivent décider de ce qu'il y a lieu de faire à propos de ce couteau, censé être l'arme du crime, qui serait caché près de la galerie.
Nous essayons de comprendre le contexte invraisemblable qui les empêche d'embarquer Ranucci et d'aller sur place immédiatement.
Qu'est-ce pourrait justifier qu'à ce moment-là "les policiers pensaient qu'il l'avait tuée avec l'opinel trouvé dans sa voiture" ?
C'était en réponse à Bruno qui disait:
Citation :
Comment imaginer un seul instant que ces policiers, avec le métier qu'ils ont, se sont enfin décidés, en fin de garde à vue à s'intéresser à l'arme du crime
A moins qu'ils n'aient déjà appelé Vuillet qui leur dit que la petite a été tuée par un cran d'arrêt, les policiers croient que l'arme du crime est le cailloux ensanglanté trouvé sur le Lieu du crime. Et ce jusqu'à ce que Ranucci leur parle du couteau jeté dans la vase près de la champi à la fin de ses aveux.
Si les enquêteurs avaient encore 3 heures devant eux, comme l'aurait dit Alessandra selon Oswald, il est difficile en effet de comprendre pourquoi ils ne se sont pas rendu tout de suite à la champi avec le principal intéressé.
Mais à 1h15 de la fin de la GAV, je pense que c'est moins évident, sauf si la procédure permet de finir la rédaction d'un PV à la main et sur le terrain. Mais il me semble qu'un PV doit toujours être saisi en propre à la machine en présence de l'inculpé et signé par lui.
Si tel est le cas (je dis bien SI car je ne connais pas bien la procédure, donc n'hésitez pas à me dire si c'est faux), ça veut dire que les enquêteurs doivent retourner au commissariat pour achever de saisir le PV et le faire signer. A moins qu'ils emmènent la machine à écrire dans la voiture...