alors la arlaten, tu me surprends....si je reprends le dessin de CR, il indique que Jean Baptiste Rambla remonte l impasse d albe.....et meme Jean Baptiste Rambla lui meme dit qu il fait le tour de cet immeuble au 3 garages

j aimerias bien que tu me dises par ou est parti Jean Baptiste Rambla

Je ne peux pas te dire, par où est parti Jean Baptiste Rambla, tout simplement parce que je n’ai aucun élément qui me permette de fixer l’endroit où a eu lieu la « rencontre » entre le ravisseur et les enfants.
Par contre, nous savons où le petit Jean a été vu, seul, en train de chercher le chien.
Et ce n’est pas autour de cet immeuble.

Donc, il a pu faire partiellement ou totalement le tour de l’immeuble du bas. Mais il a fait aussi le tour des autres immeubles, notamment celui où il habitait.

sur l autre cote du batiment, on peut donc supposer que Jean Baptiste Rambla a fait le tour du batiment......

alors n etant pas marseillais je fais confiance a ceux qui ont ete sur les lieux.....
mais si j essayes de reconstituer le timing de l enlevement, LEs enfants descendent jouer avec des petits camarades, un peu avant 11:00 madame rambla interpelle les enfants par la fenetre du salon (impasse d albe), ils repondent encore quelques minutes...quelques minutes apres Mme Rambla sort la tete par la fenetre et demande a Jean Baptiste Rambla ou est sa soeur reponse :"elle cherche le chien"..... la petite a deja disparu!!!!!!!
donc le ravisseur est intervenu trs peu de temps apres le premier passage a la fenetre de mme RAMBLA, et convainc en moins d une minute MDR a monter ds la voiture....
si ca c est passe ainsi, je suis d accord avec jean-jacques, Le ravisseur etait pas devant les garages maisdeja garé parallelement au muret....

donc le plan de CR est faux, et pourquoi est il faux? peut etre alors qu on lui dicte un peu ce que Jean Baptiste Rambla a temoigné..............

Et voilà Syd, il faut prendre en compte ce que dit Mme Rambla.
Quand elle regarde par la fenêtre de la salle à manger, elle voit les enfants jouer dans le parc ou le square qui est juste en bas de chez eux.
Quelques minutes après, « regardant cette fois par la fenetre de la cuisine, qui s ouvre sur l autre cote du batiment, elle aperçoit Jean ». La fenêtre de la cuisine donne sur l’autre côté de leur bâtiment. Donc sur le parking qu’il y a derrière.
Oui, je vois bien les choses comme cela.
Le ravisseur a pu passer une ou deux fois dans l’impasse d’Albe. Il a aperçu les enfants sur le square de la cité. Il y en a quatre. Finalement il se gare en bas de l’impasse. Là où Spinelli verra la scène. Il monte à pied vers le square et du trottoir il surveille les enfants. Il a pu voir partir les deux petites voisines. Il a pu entendre Mme Rambla.
C’est à ce moment qu’il entre en action. Du trottoir, il appelle les enfants. Il leur raconte son histoire de chien. Jean remonte sur le trottoir de l’impasse pour aller sur l’arrière du bâtiment qu’il habite, là où sa mère le verra. Sur le même trottoir, le ravisseur et Marie-Dolores, descendent pour contourner le bâtiment du bas. Arriver à la hauteur de la voiture, le ravisseur lui propose de poursuivre la recherche en voiture.

Pour moi, le plan colle à ce qu’a dit Jean et les aveux collent à ce qu’a dit Spinelli et malgré cela, l’accusation n’a pas jugé bon de les citer comme témoins.

Cela paraît plausible que le ravisseur soit passé à l'action juste après l'apparition de la maman à la fenêtre (il a dû se dire qu'elle n'allait pas les appeler toutes les trente secondes) mais est-ce vraiment concevable qu'un ravisseur d'enfant fasse une certaine distance dans la rue, à pied et avec sa victime ? Si ce sont des immeubles, il peut y avoir des dizaines de gens à leur fenêtre...

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My soul is painted like the wings of butterflies

Voilà Chantal, c’est là que cela se passe.



L’agresseur a pu observé les enfants depuis le trottoir, derrière le muret. De là, il a une vue sur le square et il ne peut être vu de M. Rambla. Il a eu le temps de voir qu’en ce lundi de Pentecôte, il n’y avait peu de mouvement aussi bien au niveau du square que dans la rue.
Il n’a qu’une quarantaine de mètres à parcourir pour arriver à sa voiture. Le trottoir est juste sous les fenêtres. Le premier étage ne semble pas habité (grille et pas de volets). Les balcons des autres étages surplombent le trottoir.

Il reste à cependant à faire passer "Un homme en voiture est arrivé." dans l'interprété ...

bjr,

mais rien de cela ne correspond aux aveux ni au temoignage de Jean Baptiste Rambla....le petit a bien dit et redit que le ravisseur s etait arrete devant les 3 garages
CR dessine son plan et montre le stationnement de la voiture devant les 3 garages

Salut Syd, il semble que ce ne soit pas exactement comme tu le dis.
Jean Rambla a bien parlé de 3 garages.
Par contre, sur le plan, la voiture est stationnée devant 2 garages et non pas 3.

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Argumenter avec les imbéciles, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon.
D'abord, le pigeon va renverser les pièces et chier sur l'échiquier.
Puis, il se pavanera comme s'il avait gagné la partie.

salut henri,

alors qi sur le plan il semble etre gare devant 2 garages et non trois, il y a quand meme de dessine le muret, la rue qui monte, les 2 courbes....

ca fait bcp d indice pour un plan qui ne representerais pas les garages de rosano mais d autre derriere l immeuble des rambla....

Eh bien non Syd, le petit Jean l’a dit mais ne l’a pas redit.
Il aurait parlé des 3 garages à Grivel dans l’après midi du 4, mais avant il semble qu’il en a parlé à personne, même pas à son père, même pas à sa mère, puisque dans leur déposition respective, ils ne parlent pas des 3 garages.
La photo, la voilà






Pour être dans le journal du 4, elle a été prise le 3.
Et c’est cette photo qui a fait dire dans la cité que l’enlèvement avait eu lieu devant les garages. Comme l’a dit Rosano dans un autre journal.

Le petit Jean n’a pas dit aux policiers où l’agresseur les a abordé. Il n’a pas dit qu’après la voiture était le long du trottoir dans l’impasse d’Albe. Il ne confirme rien des aveux.

Dans sa première déposition, Pierre Rambla dit que l’agresseur a abordé les enfants, à l’intérieur de la résidence. De qui peut-il tenir cela, sinon de son fils.
Et pour moi, l’intérieur de la Résidence, ce n’est pas l’impasse d’Albe, ce n’est pas devant les garages du bas, c’est le square.

Si on admet que l’agresseur a du surveiller les enfants avant de passer à l’action, où pouvait–il le faire sinon vers le square puisque c’est là que des témoins les ont vu jouer.

Alors tu as raison, mon hypothèse ne tient pas compte du témoignage de Jean Rambla, mais elle tient compte de celui de M. Blanc, de celui de Mme Nicoux, de ceux des parents Rambla et de celui de M. Spinelli.

arlaten, ce remettrait en cause toute l accusation....j aimerias quand meme etre sur que Jean Baptiste Rambla ne parle jamais des 3 garages

le petit Jean a déclaré à Grivel le 4 juin :

Il dit d'abord qu'il jouait avec sa soeur devant le premier batiment de la cité, là où il y a trois garages.

Et ensuite, il dit "un homme en voiture est arrivé. Il a garé son auto devant un des garages."
S'il s'agit de celui où il y a 3 garages, alors c'est celui qui est proche des escaliers et pas celui où il y a le platane car là il n'y avait que 2 garages.

donc meme lorsqu il parle des 3 garages a grivel, Jean Baptiste Rambla ne parle pas de l emplacement que CR a dessiné?

Je reprends et recentre ce message de Philippe.

Donc Jean Rambla aurait vu la voiture, au même endroit que Spinelli, en bas de la rue.

En recevant la déposition du petit Jean, Grivel s'est trompé. Ou bien, il a été trompé par l'article et la photo parus dans le Provençal, le matin de l'audition.

Comment ce fait-il qu'en dessinant le plan, Ranucci ai fait la même erreur ?