J'ai lu l'article cité par André, ca y est..
Alors, effectivement, voici la paragraphe :
"(..) les policiers qui avaient été déçus par le témoignage de Jean, le petit frère de Marie-Dolorès, seul à avoir aperçu le ravisseur de sa soeur aînée au moment de l'enlèvement. Le petit garçon n'avait reconnu ni «le jeune homme élégant et grand», aperçu le jour du rapt, parmi les policiers au milieu desquels avait pris place Christian, ni la voiture. Plutôt que la coupé 304 du suspect garé dans la cour de l'hôtel de police, il avait désigné une Ford Mustang jaune."
Mais dans le même article :
"C'est le témoignage de M. et Mme Aubert (ci-contre) qui a permis de confondre l'assassin de Maria-Dolorès. Le jour du rapt, le lundi de la Pentecôte, les époux Aubert roulaient, vers midi, sur la nationale 96 derrière une R-16:
- Au lieu-dit «La Pomme», la R-16 n'a pu éviter une 304 qui venait de brûler un stop, ont-ils déclaré. Nous avons poursuivi la 304 qui ne s'était même pas arrêtée, malgré le choc. Deux kilomètres plus loin nous avons retrouvé la voiture arrêtée. Le conducteur était descendu et il tirait de l'arrière une fillette qui se débattait. En l'emportant dans ses bras, l'homme s'était enfui dans les fourrés vers la colline.
M.Aubert l'avait appelé en vain. Sur l'insistance de sa femme, il avait renoncé à poursuivre le fuyard. Aujourd'hui, il le regrette:
- J'aurai sans doute pu éviter le drame, dit-il."
Et aussi :
"le jeune homme définitivement confondu commença sa lamentable confession:
«J'étais comme une bête féroce, traquée par les chasseurs. Je me sentais poursuivi. L'accident m'avait rendu fou. Alors j'ai sorti mon couteau à cran d'arrêt. Je ne savais plus ce que je faisais. Je lui en ai porté plusieurs coups à la gosse. Dans le même temps, je l'empêchais de crier en maintenant sa bouche contre mon pantalon. Quand elle a cessé de respirer, j'ai meurtri son visage à coup de pierres. Je voulais la défigurer. Je vous jure pourtant que je ne voulais pas la tuer. Au soir de notre promenade, je l'aurai tout simplement reconduite à Marseille.»"
"Vendredi les gendarmes de Gréasque ont retrouvé à l'endroit précis que Christian Ranucci avait indiqué, l'arme du crime. Il s'agit d'un petit couteau à cran d'arrêt que le meurtrier avait dissimulé sous une pierre à l'intérieur de la champignonnière où il tenta de se cacher après avoir tué la petite fille."
L'article est très approximatif. Et en tt cas, non cohérent avec la thèse officielle.
La petite se débattait.
CR l'empêchait de crier en la serrant contre son pantalon, tout en lui assènant des coups de couteaux.
Le dit couteau est caché sous une pierre.
André,
toi qui a lu cet article, pr en sortir cet épisode de la Ford jaune.. ne me dis pas que tu n'avais pas lu le reste ?
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