Citation :
Citation :
Sous-entendu, ben voyons
Ranucci n’a pas pris part à la reconstitution de la scène où sortant de la 304, il aurait entraîné la fillette dans les fourrés.
Ranucci n’a pas voulu simuler les gestes du crime.
Et là, devant le tas de fumier, il faudrait sous-entendre qu’il a désigné un endroit spontanément.
Le "ben voyons" est inutile.
Il n’est pas inutile, puisqu’en deux mots, je vous ai signifié que votre « sous-entendu » était inapproprié.
Citation :
Rien ne l'oblige à "simuler les gestes du crime", et il ne l'a pas fait. Rien ne l'oblige à décrire l'accident, le talus, le couteau etc.: il l'a fait.
Si l'adverbe "spontanément" ne vous convient pas, disons "librement". Ca vous va ?
Et si vous sous-entendez autre chose, alors il faut dire clairement votre pensée.
Là, vous mélangez tout.
Il est question de ce qui c’est passé lors de la reconstitution, alors restons sur la reconstitution. Ranucci n’a participé activement qu’à la scène de l’accident. Pour le reste, il s’est abstenu. Vous ne pouvez donc pas dire que devant le tas de fumier, il est devenu actif « spontanément » et que si ce n’a pas été écrit, c’est que l’on pouvait le sous-entendre.
« Librement » ? Vous voulez dire que Melle Di Marino aurait pu écrire : « Ranucci a reconnu librement l’endroit….. » ?
Citation :
Citation :
Citation :
Permettez-moi, sans agressivité, de vous dire que votre rédaction est tendancieuse
Ma rédaction est certainement moins tendancieuse que celle de celui qui écrit « qu'il a été spontanément, lors de la reconstitution, à l'endroit précis »
Vous polémiquez. J'ai EXPLICITEMENT écrit que ce mot "précis" était de trop et que je le retirais. Que voulez-vous de plus ? Que je m'aplatisse humblement en demandant pardon ?
Je ne vous en demande pas tant.
Certes, vous avez retiré le mot, mais cela ne vous « blanchi » pas pour autant de l’usage que vous en aviez fait. Vous étiez donc très mal placé pour juger ma rédaction tendancieuse.
Citation :
J'attens en revanche de votre part une mise au point analogue sur la phrase ci-dessus. Soyez de bonne foi, VOUS AUSSI.
C’est fait.
Citation :
Citation :
Les gens qui connaissent les lieux savent qui de Melle Di Marino ou des gendarmes sont plus près de la vérité.
Et comme vous le dites, à la reconstitution, il y avait des avocats, des policiers, des gendarmes et aucun n’a fait remarquer à Melle la Juge, qu’elle faisait écrire des choses inexactes, à sa greffière.
Je ne connais pas les lieux, vous non plus si je comprends bien.
Je ne vois pas ce qui peux vous permettre de comprendre que je ne connais pas les lieux. Vous vous trompez.
Citation :
Je ne connais pas de PV de gendarmerie qui dise la distance entre le tas de fumier et la galerie. Le seul "100 mètres" est dans le livre de G.Perrault.
Là aussi vous vous trompez et j’aurais pu vous faire la réponse que Jpasc95 vous a faite.
Citation :
En fait c'est une diversion. Ce que vous ne supportez pas, c'est que Mlle Di Marino dise "Ranucci a reconnu l'endroit ...etc." et vous insinuez, à la manière de G.Perrault, que Mlle Di Marino "faisait écrire des choses inexactes, à sa greffière". Mais pourquoi ne pas dire franchement ce que vous n'osez pas dire tout haut ?
Vous vous trompez doublement, d’abord, parce que je n’insinue pas, j’affirme franchement que Melle Di Marino a fait écrire par sa greffière, des choses qui sont fausses, notamment au niveau de la scène de l’accident.
Ensuite, je ne dis pas, parce que rien ne me permet de le dire, que quand Melle la Juge fait écrire par sa greffière : « Ranucci a reconnu l’endroit…. », elle lui fait écrire quelque chose d’inexact.
Par contre je dis que ce qu’elle a fait écrire, n’est pas suffisant pour pouvoir affirmer que
Ranucci a bien montré l’endroit précis où les gendarmes confirment avoir trouvé le couteau.
Citation :
Car ou bien c'est vrai, ou bien c'est faux.
Si c'est faux, alors non seulement les policiers, les gendarmes, la juge sont des pourris, mais aussi le substitut, l'avocat de la partie civile, le batonnier Chiappe, Me Le Forsonney, tous présents, sont leurs complices.
Si c'est vrai, votre position est intenable. A part un rideau de fumée...
Bon, revenons à nos cent mètres. Là, y a pas photo. Vous allez sur le terrain et vous constaterez que les gendarmes ont raison. Et s’ils ont raison, Melle la Juge a……….
Qui dit complice dit complot. Mais c’est vous qui le dites……..