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Ensuite, j'en déduis qu'effectivement il s'agit, selon moi, de Marie-Dolorès Rambla, donc d'une fillette.
Et voilà. Une déduction. Les Aubert ont déduit aussi. Après avoir appris que le corps de Marie Dolores avait été retrouvé, leur paquet assez volumineux est devenu un enfant, parce que Marie Dolores était un enfant.
Mais entre le version paquet et la version enfant des Aubert, c'est là que je dis qu'il y a suffisamment d'éléments pour faire le bon choix.
Je peux changer le mot déduction si ça peut vous faire plaisir et écrire interprétation ou hypothèse.
D’abord, le mot déduction, c’est moi qui l’ai utilisé. Donc, à changer quelque chose, ce serait le verbe déduire qu’il faudrait changer.
En restant sur le mot déduction, les mots proposés n’en sont pas synonymes et donc ne correspondent pas vraiment. M. Larousse explique très bien cela.
Quant à me faire plaisir ou pas, la question ne se pose pas.
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Pour la nième fois, j'ai bien compris que vous avez votre hypothèse et moi une autre différente de la votre.
Bien compris, « c’est pas vrai…..je le crois pas »……………………
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Et la votre n'est pas plus étayée que la mienne car vous aussi vous interprétez, même si vous soutenez le contraire.
un exemple : vous dites, ce n'est pas parce que C Ranucci n'a pas écrit dans son Récapitulatif qu'il s'était enfui quelque part sur la rn8bis qu'il ne l'a pas fait !
D’abord, ce n’est pas avec un argument pareil que j’en arrive à penser que Ranucci a pu s’enfuir quelque part sur la rn8bis. Je m’appuie sur d’autres éléments.
Ensuite, cet « exemple », n’est justement pas une interprétation. C’est une affirmation qui exprime un constat. En plus, cette affirmation n’est pas fausse.
Enfin, si c’est cette affirmation qui est venue en premier à l’esprit, pour montrer une interprétation, il faut croire que dans ce que j’expose, les interprétations sont bien difficiles à trouver.
Si, certaines de mes hypothèses peuvent apparaître, à certains, comme des interprétations, j’ai, en principe, un « élément connu » de l’époque qui sert de point de départ, ou qui corrobore toute hypothèse.
Et c’est là, toute la différence entre mon hypothèse globale et « l’hypothèse globale Jaspy ».
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un exemple : vous dites, ce n'est pas parce que C Ranucci n'a pas écrit dans son Récapitulatif qu'il s'était enfui quelque part sur la rn8bis qu'il ne l'a pas fait !
vous croyez avoir démontré quoi avec ce genre d'affirmation ?
Tiens je croyais que c’était un exemple. En fait c’est une question.
Comme je l’ai dit, c’est une affirmation qu’il faut prendre comme un constat et qui n’a donc pas la prétention de démontrer quelque chose.
En plus, je ne crois pas avoir écrit cela, en ce qui concerne précisément la fuite dans la colline, mais je l'ai écrit pour autre chose.
Je trouve qu’elle est une bonne réponse à ceux qui martèlent sans arrêt et veulent imposer que si nous ne retrouvons pas trace d’une situation, dans les écrits de Ranucci ou de Me Le Forsonney, c’est que cette situation ne s’est pas produite.
Dans tous les cas, l’affirmation est « du même tonneau ».
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c'est pour cela qu'il faut que vous compreniez que l'on peut avoir un autre raisonnement que le votre dans cette affaire.
Pourquoi toujours laisser entendre, que s’il y a incompréhension, ceux sont les autres qui ne comprennent pas ?
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moi je parle d'hypothèse, vous vous parlez de certitude concernant votre hypothèse.
Erreur ou…….mensonge.
Comme tout le monde, j’ai une hypothèse globale qui est constitué de plusieurs hypothèses « secondaires ». C’est seulement sur certaines de ces hypothèses secondaires que j’ai « un peu plus que des convictions ».
Je n’ai aucun scrupule à « m’approprié » ou plutôt à me servir d’une hypothèse formulé par un autre forumeur, si je m’aperçoit qu’elle est formulée à partir d’un raisonnement cohérent et qu’elle s’appuie sur un/des élément(s) connu(s) de l’affaire.
Je peux changer d’avis sur un point, sans aucun problème.
C’est ce que j’ai fait dernièrement quant à savoir si Ranucci avait répondu à l’interpellation d’A. Aubert.
Il est une pièce du dossier (le rapport des psys) qui fait état de cette réponse. Je l’ai évoqué et j’ai précisé :
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Ce n’est pas dans ses aveux que Ranucci a reconnu cette « discussion », mais devant les spys.
Au moment où ils viennent le voir, cela fait plus d’un mois qu’il est en prison et qu’il est libéré de la pression policière.
Je fais donc le distinguo, entre les aveux passés devant les policiers et disons cet entretien avec les spys.
Pour ne pas en tenir compte, il faut envisager une manipulation des médecins. Soit ils n’ont pas écrit ce que Ranucci leur a dit, soit ils lui ont « soufflé » les réponses. Je veux bien, mais il faut trouver au moins un élément qui permette d’avancer cela.
Et quand on me répond :
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Je pense que les psys, voyant qu'ils ne parlaient pas tout se suite de l'épisode de l'interpellation avec M Aubert, ont du insister et à mon avis lui rappeler que le témoin (M Aubert) l'avait interpellé.
Je ne peux pas recevoir cela comme un argument. Ce n’est qu’une supposition.
Ce point est important. S’il est avéré, indiscutablement, c’est bien Ranucci que les Aubert ont vu. Comme il est très dérangeant pour certaines hypothèses, alors on fait une supposition, et à partir de cette seule supposition, on « élimine » le rapport des psys.
Désolé, mais je ne « travaille » pas comme ça.
A force de chercher, j’ai trouvé. Les psys n’ont pas écrit dans leur rapport (sur ce point là), ce que Ranucci leur a dit. J’ai donc changé d’avis sur ce point là. J’en aurais fait de même si c’était quelqu’un d’autre qui avait trouvé, ce que j’ai trouvé.
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Il se trouve que je préfère mon hypothèse à la votre car je pense que les Aubert ont vu un type s'enfuir avec un enfant et que ce type n'était pas C Ranucci mais un autre.
Dans cette hypothèse, le type « apparaît » simplement parce que les Aubert n’ont pas reconnu Ranucci.
L’argument ne vaut rien surtout si on admet que finalement les Aubert n’ont pas vu grand-chose.
Si cet argument avait la moindre valeur, il faudrait l’appliquer aussi à la fillette. Et oui, les Aubert pour une scène qui se passe au même moment et même endroit, donc dans les mêmes conditions, n’ont pas été en mesure de « voir » une fillette mais seulement un enfant (c’est ce qu’ils disent le 6). Ils ne sont donc pas en mesure de reconnaître Marie Dolores.
Avec le même argument, il faut donc dire qu’ils ont vu ……….une autre fillette.
Et l’enfant pourquoi apparaît-elle ? pour être cohérent ?
Et pourquoi cela se passerait à l’aplomb du lieu du crime ? pour être cohérent aussi ?
Tout cela manque de rigueur.
Et en plus il faut « intégrer » un évanouissement très particulier de Ranucci qui ne correspond en rien à celui dont il parle dans son Récapitulatif.
Donc une hypothèse comme celle là………………….non merci.