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Message non luPosté :24 oct. 2006, 12:06 
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Personnellement, Bruno, je pense que JF LEFORSONNEY a des choses intéressantes à dire et c'est evident parce qu'il a connu RANUCCI. Cela m'interpelle donc forcément.
Je crois également que dans la mesure où G. BOULADOU a enquêté sur l'affaire à sa manière et a rencontré des témoins de l'epoque, cette source d'"informations" n'est pas à écarter non plus.
Toutes les sources d'informations doivent être prises en compte, sinon pour argent comptant.
J'ai de toute manière souvent constaté que les mensonges avérés nous en apprennent autant sur un témoignage ou sur une personne que les vérités.


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 15:42 
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ils serait intéressant pour ceux qui commentent mon livre sans l'avoir lu, de lire le passage suivant :
Mais un incident, ne figurant pas dans le procès-verbal, doit absolument être connu pour bien comprendre l’amnésie soudaine de Ranucci quand la juge lui demande de mimer les gestes du meurtre : il vient de prendre dans ses bras la poupée qui simule la fillette et on lui tend le couteau en bois, représentant celui qu’il tenait au moment fatidique. Ranucci blêmit, l’émotion est visible, tout le monde est tendu. Il lance un regard vers Maître Chiappe, comme s’il cherchait une bouée de sauvetage. Et là, Maître Chiappe lui fait « non » de la tête. Un gendarme se met à crier : « Non, mais ce n’est pas possible ! » Mlle Di Marino se met en colère : « Maître, je vous demande de ne pas intervenir ! »
Mais il est trop tard, Ranucci a compris. Il prétendra ne pas se souvenir de ce qui s’est passé à ce moment, mais à ce moment-là seulement car madame le juge notera : « La reconstitution du crime d’homicide a été impossible, Ranucci prétendant ne plus se souvenir de cette partie des faits. » (J’ai souligné volontairement cette portion de phrase).
Cet incident me sera confirmé par plusieurs policiers présents sur les lieux et par le docteur Vuillet.
Je n’ai pas pu m’empêcher de faire un rapprochement entre ce passage de l’affaire Ranucci et un passage du livre de monsieur Badinter, L’abolition. Il raconte, à la page 78, la reconstitution de l’affaire Patrick Henry, dont il était l’un des avocats. Cela permet de mieux comprendre l’émotion que devait ressentir Ranucci lors de la reconstitution de son affaire : Patrick Henry avait, dans un premier temps, refusé de participer à la sienne car il lui semblait insupportable de revoir les lieux.
Pour cette raison, Maître Badinter ne comptait pas se rendre à Troyes (lieu du crime), où elle devait avoir lieu. Il téléphonait donc à Maître Bocquillon, autre avocat de Patrick Henry qui, lui, se trouvait sur place, et insistait seulement sur un point : il ne voulait pas qu’au cas où son client changerait d’idée et accepterait de participer à la reconstitution, il mime le geste meurtrier. Il ajoute dans son livre : « J’imaginais l’impression que pourrait produire sur les jurés la photo de Patrick Henry serrant le foulard autour du cou d’un mannequin représentant l’enfant. Bien heureux encore si ce cliché n’était pas publié dans la presse ! »
Maître Chiappe avait certainement eu la même réaction, les photographes de l’identité judiciaire étant prêts à photographier Ranucci en train d’accomplir les gestes meurtriers.
Mais la reconstitution continue. Et alors qu’on s’attend à ce que Ranucci ne dise plus rien, refuse de participer, certains seront surpris par la façon dont il montrera l’endroit où il a caché le couteau en l’enfonçant dans le sol. Le premier surpris sera l’enquêteur Grivel qui est menotté avec lui. Il est en effet entraîné un peu fortement par Ranucci. Ce dernier vient de se rendre brusquement et sans hésiter à l’endroit exact où il a caché le couteau, dès que le juge le lui a demandé. Il désigne cet endroit de la main."

Tant que vous y êtes, faites un procès à M. Badinter; c'est écrit dans son livre.
Ceux qui ont lu mon livre (invitez Me Le Forsonney à le faire) savent que je tiens cela de Pierre Grivel et du Docteur Vuillet (voir leurs entrevues) et d'autres personnes que je ferais citer si le procès est révisé.
jJe me suis trouivé en débat surle plateau de LCM avec Me Le Forsonney et j'aurais aimé qu'il me pose la question plutôt que décrire cela dans un livre.


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 15:47 
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Et je constate que Me Le Forsonney estime que cequ'a fait Me Badinter est absurde et indigne. Je le trouve trés sévère pour celui qui a fait abolir la peine de mort !


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 16:47 
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Mr Bouladou, je ne suis pas sûr de bien comprendre où vous voulez en venir.
Selon vous, c'est le "non" de la tête de Me Chiappe qui a donné à Ranucci l'idée de l'amnésie ?

_________________
Argumenter avec les imbéciles, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon.
D'abord, le pigeon va renverser les pièces et chier sur l'échiquier.
Puis, il se pavanera comme s'il avait gagné la partie.


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 16:49 
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Citation :
Ceux qui ont lu mon livre (invitez Me Le Forsonney à le faire) savent que je tiens cela de Pierre Grivel et du Docteur Vuillet (voir leurs entrevues) et d'autres personnes que je ferais citer si le procès est révisé.
Vous allez vous-même faire citer des personnes si le procès est révisé ?
Je ne comprends pas à quel titre.

_________________
Argumenter avec les imbéciles, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon.
D'abord, le pigeon va renverser les pièces et chier sur l'échiquier.
Puis, il se pavanera comme s'il avait gagné la partie.


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 17:10 
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Citation :
Mr Bouladou, je ne suis pas sûr de bien comprendre où vous voulez en venir.
Selon vous, c'est le "non" de la tête de Me Chiappe qui a donné à Ranucci l'idée de l'amnésie ?
apparement oui.maintenant,ça ne figure pas sur le pv...


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 17:38 
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Citation :
En effet, page 18 :
Faisant référence à l'exécution de Monsieur Christian Ranucci, il est écrit, je cite :

"Avait-on le 26 juillet 1976, "commis l'acte le plus horrible qu'une société démocratique peut engendrer : l'assassinat légal, réfléchi, décidé d'un innocent", comme l'écrivait Paul Lefèvre ......"

Il convient de lire "Avait-on le 28 juillet 1976, ...." bien entendu.

M. Bouladou nous donne par ailleurs des règles élémentaires de lecture de PV en page 128-129 de son livre.

Si M. Bouladou a l’occasion de lire le PV d’exécution de Monsieur Christian Ranucci, et en suivant les recommandations dont il nous a fait part sur la manière de déchiffrer ce type de document, il parviendra sans aucun doute à bien repérer la date exacte de cette exécution.
Dans mon premier livre, dans ce passage, je cite la date du 28 juillet; c'est facile à vérifier; est-ce que Didi pense un instant que j'ai repris mon texte pour remplacer la date du 28 par celle du 26? Et bien non! Mon livre fourmilLe d'erreurs qui ne se trouvaient pas dans le premier et dont je ne suis pas l'auteur et je n'ai pour l'instant pas signé de bon à tirer.... Pour comprendre ce qui s'est passé il faut connaître le monde de l'édition et les difficultés incroyables qu'il y'a à faire publier le texte que l'on a corrigé; les corrections seront faites dans la prochaine édition.


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 18:57 
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Citation :
En effet, page 18 :
Faisant référence à l'exécution de Monsieur Christian Ranucci, il est écrit, je cite :

"Avait-on le 26 juillet 1976, "commis l'acte le plus horrible qu'une société démocratique peut engendrer : l'assassinat légal, réfléchi, décidé d'un innocent", comme l'écrivait Paul Lefèvre ......"

Il convient de lire "Avait-on le 28 juillet 1976, ...." bien entendu.

M. Bouladou nous donne par ailleurs des règles élémentaires de lecture de PV en page 128-129 de son livre.

Si M. Bouladou a l’occasion de lire le PV d’exécution de Monsieur Christian Ranucci, et en suivant les recommandations dont il nous a fait part sur la manière de déchiffrer ce type de document, il parviendra sans aucun doute à bien repérer la date exacte de cette exécution.
Dans mon premier livre, dans ce passage, je cite la date du 28 juillet; c'est facile à vérifier; est-ce que Didi pense un instant que j'ai repris mon texte pour remplacer la date du 28 par celle du 26? Et bien non! Mon livre fourmilLe d'erreurs qui ne se trouvaient pas dans le premier et dont je ne suis pas l'auteur et je n'ai pour l'instant pas signé de bon à tirer.... Pour comprendre ce qui s'est passé il faut connaître le monde de l'édition et les difficultés incroyables qu'il y'a à faire publier le texte que l'on a corrigé; les corrections seront faites dans la prochaine édition.
Bonjour Gérard, je précise que je suis là en tant que spectateur.

Concernant les auteurs dont on fait référence :

- Gilles Perrault d'abord, qui a été le premier (et c'est un mérite qu'il faut lui remettre) à relever le manque de sérieux de l'enquête et de l'instruction. Même si de nombreuses erreurs émaille son livre, il a quand même grandement contribué à médiatisé cette affaire et ses carences institutionnelles.

- vous même Gérard Bouladou, qui amenez au débat l'oeil d'un professionnel, et ce n'est pas négligeable. De même, vous avez vu les témoins de l'époque. Je suis convaincu que vous avez enquêté le plus sincèrement du monde, même si parfois, vous semblez très occupé à "détruire" la thèse de M. Perrault. Quelques omissions également, comme l'empreinte de sabot.

- Me Jean-François LeForsonney, que je n'ai pas lu. J'ai néanmoins toujours trouvé cet homme assez sincère dans ses déclarations. De même, j'ai apprécié entendre de lui qu'il ne savait pas si son client était coupable ou innocent, parce que des circonstances n'avaient pas été fouillées. Il ne semble pas croire la thèse de l'accusation, et j'ai tendance à m'y plier également.

Je me fous de savoir au fond si Ranucci était le meurtrier ou pas, puisqu'il est mort. Personnellement, l'un ou l'autre ne changera pas ma vie. Mais l'institution judiciaire doit rendre des comptes sur cette affaire ; pour les victime, les familles, les témoins, et la population qu'elle dit représenter. C'est une question de crédibilité.

Gérard, votre travail est respectable et remarquable. Mais permettez-nous parfois d'avoir une autre interprétation que vous. :wink:


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 19:01 
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En effet, page 18 :
Faisant référence à l'exécution de Monsieur Christian Ranucci, il est écrit, je cite :

"Avait-on le 26 juillet 1976, "commis l'acte le plus horrible qu'une société démocratique peut engendrer : l'assassinat légal, réfléchi, décidé d'un innocent", comme l'écrivait Paul Lefèvre ......"

Il convient de lire "Avait-on le 28 juillet 1976, ...." bien entendu.

M. Bouladou nous donne par ailleurs des règles élémentaires de lecture de PV en page 128-129 de son livre.

Si M. Bouladou a l’occasion de lire le PV d’exécution de Monsieur Christian Ranucci, et en suivant les recommandations dont il nous a fait part sur la manière de déchiffrer ce type de document, il parviendra sans aucun doute à bien repérer la date exacte de cette exécution.
Dans mon premier livre, dans ce passage, je cite la date du 28 juillet; c'est facile à vérifier; est-ce que Didi pense un instant que j'ai repris mon texte pour remplacer la date du 28 par celle du 26? Et bien non! Mon livre fourmilLe d'erreurs qui ne se trouvaient pas dans le premier et dont je ne suis pas l'auteur et je n'ai pour l'instant pas signé de bon à tirer.... Pour comprendre ce qui s'est passé il faut connaître le monde de l'édition et les difficultés incroyables qu'il y'a à faire publier le texte que l'on a corrigé; les corrections seront faites dans la prochaine édition.
Vous êtes vraiment certain que vous n'êtes pas marqué par le sort ??? Il vous rrive plein de désagréments décidément.

Il serait sympa pour ceux qui auront acquis cette édition pleine d'erreurs, vous ayez l'amabilité d'en faire un document téléchargeable et imprimable.
Merci par avance.

Décidément il faut connaitre plein de pratiques pour les "comprendre", celles de la police, celles des éditeurs, celles des forumeurs....


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Message non luPosté :24 oct. 2006, 22:16 
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Je me fous de savoir au fond si Ranucci était le meurtrier ou pas, puisqu'il est mort.
A mon avis, si Ranucci est innocent, la seule chose qui compte, pour lui et les siens, c'est que ça se sache.
Le reste c'est du pipeau.

_________________
Argumenter avec les imbéciles, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon.
D'abord, le pigeon va renverser les pièces et chier sur l'échiquier.
Puis, il se pavanera comme s'il avait gagné la partie.


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Message non luPosté :25 oct. 2006, 10:59 
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Je me fous de savoir au fond si Ranucci était le meurtrier ou pas, puisqu'il est mort.
A mon avis, si Ranucci est innocent, la seule chose qui compte, pour lui et les siens, c'est que ça se sache.
Le reste c'est du pipeau.
Oui Henri, mais tu as retiré ma phrase du contexte. Personnellement, ça ne changera pas ma vie. Ca c'est la suite... :wink:


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Message non luPosté :27 oct. 2006, 16:27 
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est-ce que le fait que Me Le Forsonney indique page 44 de son livre que le pantalon bleu foncé était parmi les scellés sur le bureau de Mlle Di Marino le matin du 7 juin 1974, lorsqu'il va chercher son permis de communiquer, ne gêne pas la superthéorie du pantalon volé dans le garage dans la nuit du 9 au 10 juin ?
Et les petits mensonges d'une seule tache sur le pantalon?
La juge qui marquee lors de la reconstitution lorsqu'on demande à Ranucci à la cité St Agnès, s'il est passé par là, "Ranucci dit oui de la tête"

J'ai toujours dit qu'il fallait qu'il lise le dossier, bien qu'il soit un peu tard pour CR. Il vaut mieux défendre ses clients au bon moment que des années après, en racontant n'importe quoi.

Et pardonnez moi de ne pas répondre aux questions dont la réponse est trop facile.


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Message non luPosté :27 oct. 2006, 16:42 
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...La juge qui marquee lors de la reconstitution lorsqu'on demande à Ranucci à la cité St Agnès, s'il est passé par là, "Ranucci dit oui de la tête"

Est ce pour vous une preuve?
notre "Sudiste", Joaquin pour le nommer, a fait le chemin qu aurait pris le ravisseur, il a mis moins de 40minutes, et il s'est apercu par le meme que les 2 routes de sortie de cite menaient vers le carrefour de la pomme
je remets son post
Citation :
Ranucci a du montrer la rocade, qui est l'issue la plus évidente pour sortir de la cité Saint Agnès. L'autre est une petite route, qui a l'air de mener à nulle part : et pourtant elle mène aussi sur la D908 (je pensais d'ailleurs au départ que le ravisseur avait pris plutôt cette route, beaucoup plus discréte que la rocade : c'est celle là que j'ai pris d'ailleurs pour me chronométrer sur le parcours jusqu'au carrefour la pomme, et j'ai mis 36 minutes. Si j'avais pris la rocade, qui est plus directe, j'aurais peut-être gagné 5 ou 6 minutes...)

Si je devais retenir LA PREUVE A CHARGE, ce serait surement pas cette indication de Ranucci.
et comme dit le proverbe toutes les routes menent a Rome, alors pourquoi ne passeraient elles pas par le carrefour de la "pomme" :-)


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Message non luPosté :27 oct. 2006, 18:38 
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Monsieur Bouladou ne tient pas compte de l'état dans lequel se trouve Ranucci, en particulier lors de cette reconstitution in vitro... Il n'y était pas.

Sressé comme on imagine, et malmené avec tout l'équipage dans ce fourgon, Ranucci ne fait qu'opiner du chef aux demandes de la juge, et selon JF Le Forsonnay qui y était, ne dit pas un mot.

Ainsi donc ce que Mlle di Marino traduit par "sur indication de Ranucci" correspond en fait à un mouvement de tête lorsqu'elle lui pose la question "est ce par la que vous êtes parti ?", alors que les gens qui lisent ce PV, les jurés en particulier, peuvent penser que Ranucci a indiqué à la juge par où gagner la RN 8bis vers Aix... Quand on sait que, à droite ou à gauche, ca revenait au même, il jouait perdant à coup sûr...

JF le Forsonnay a au moins le mérite de reconnaître que son inexpérience ne l'a pas aidé à cerner tous les pièges du dossier.

Le PV de cette reconstitution très particulière, en l'absence des témoins, en particulier en l'absence de M.Spinelli, ne permet de confirmer qu'une seule chose : Mademoiselle di Marino n'instruit qu' à charge.


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Message non luPosté :27 oct. 2006, 18:46 
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Citation :
et malmené avec tout l'équipage dans ce fourgon
Bonjour,

Que voulez-vous dire par là ?

Amicalement.

_________________
Et une nuit tu regarderas le ciel. Tu y verras briller des étoiles, je serai l'une d'elles... Stéphane Sirchis (1959-1999)


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