Citation :
est-ce que le fait que Me Le Forsonney indique page 44 de son livre que le pantalon bleu foncé était parmi les scellés sur le bureau de Mlle Di Marino le matin du 7 juin 1974, lorsqu'il va chercher son permis de communiquer, ne gêne pas la superthéorie du pantalon volé dans le garage dans la nuit du 9 au 10 juin ?
Et les petits mensonges d'une seule tache sur le pantalon?
La juge qui marquee lors de la reconstitution lorsqu'on demande à Ranucci à la cité St Agnès, s'il est passé par là, "Ranucci dit oui de la tête"
J'ai toujours dit qu'il fallait qu'il lise le dossier, bien qu'il soit un peu tard pour CR. Il vaut mieux défendre ses clients au bon moment que des années après, en racontant n'importe quoi.
Et pardonnez moi de ne pas répondre aux questions dont la réponse est trop facile.
Il est possible de dire quelque chose de solennel à Maître Le Forsonney : quand on craint le pouvoir et les représailles de la Cour de Cassation, qui certes est un état dans l'état et n'a que faire des lois de la République, il vaut mieux ne pas écrire de livre ni reparler de cette affaire.
Quant au fait qu'il aurait aperçu le pantalon dans le bureau du juge Di Marino le matin du 7 (je vais lire cela de façon plus précise), c'est si peu crédible, qu'à ce moment là, la juge n'aurait pas manqué lors du second interrogatoire d'en faire état et de montrer à Ranucci les fameuses taches.
Si elle ne l'a pas fait, c'est qu'elle n'avait pas le pantalon en sa possession.
Je rappelerai simplement que lors de cet interrogatoire parfaitement illégal, Madame Di Marino exhibe le couteau, les lanières, le fouet.
Pas de chance, le pantalon, aucune trace.