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Ces "quelques minutes" n'ont strictement rien de vraisemblable et entrent en contradiction avec la totalité des autres déclarations. Par conséquent, je mets ça sur le compte du gendarme : il n'était en fait question que de quelques instants, quelques secondes.
ca rappelle qqchose:
il etait tard 23:30, le gendarme chargé de retranscrire les pieces a conviction oublie le pantalon, comment lui en vouloir de ne pas recommencer du debut, il rjoute la ligne en haut du PV....
on exclique une erreur d enquete par uen erreur humain excusable(je retranscrit les dires de Gérard Bouladou)
lors de la premiere deposition de Mr MARTINEZ, on omet d inscrire la presence de l enfant car l assurance n en aura rien a faire.. le on est encore un gendarme/policier
lors du premier appel de Mr AUBERT on prefere noter paquet qu enfant, le on est encore un gendarme....
lors de l appel de guazzone repondant a l appel a temoin, on lui repond rien a faire de ta peugeot on cherche une simca....le on est encore un gendarme....
J aime lorsque les culpabilistes mettent les erreurs sur les gendarmes pour enfoncer un peu plus CR et nous faire croire queles temoins on toujours ete aussi affirmatifs...... s en est presque amusant
Ce n'est pas en généralisant que vous pouvez contredire ce que j'avançais. Tout ce que vous citez ne me concerne pas.
1) Le pantalon : je n'ai jamais dit qu'il était tard, etc, et par fainéantise... Mon hypothèse, c'est que c'est tout à fait délibérément qu'un policier a fait un faux, pour couvrir un oubli gravissime, dans une affaire où on n'avait jusque là que ce pantalon, justement ; mais la saisie était bien réelle, confirmée par Ranucci lui-même, non seulement le 6 juin par trois fois, mais aussi tout le reste de son existence.
2) Martinez : pour moi, il n'a pas eu le temps de voir un enfant. Je n'ai donc pas besoin d'imaginer les raisons d'une omission volontaire par le gendarme.
3) Guazzone : je ne vois pas le rapport avec le schmilblick.
Si je considère que le gendarme a pondu le "quelques minutes plus tard" lui-même, c'est que sans cela, tout le reste à partir de là est un pur délire. La course-poursuite devient impossible, et il n'y a même pas de raison pour Aubert de partir dans la direction prise par le fuyard.