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Message non luPosté :01 nov. 2013, 14:40 
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Attention Danger :evil:

Ne jouez pas sur les mots : linguistiquement, je n'ai sans doute pas utilisé le bon terme, mais vous aviez très bien compris ce que je voulais dire.

Pas de ça avec moi ! (à moins que vous n'ayez besoin de qqs jours de vacances :!: )

Bonjour,
N’utilisez pas de mot dont vous ne maitrisez pas le sens, cela vous évitera des déconvenues. Quant à vos menaces de petit caporal, ma brave dame…..


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Message non luPosté :01 nov. 2013, 15:37 
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Enregistré le :28 août 2006, 23:38
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Citation :
Citation :
Attention Danger :evil:

Ne jouez pas sur les mots : linguistiquement, je n'ai sans doute pas utilisé le bon terme, mais vous aviez très bien compris ce que je voulais dire.

Pas de ça avec moi ! (à moins que vous n'ayez besoin de qqs jours de vacances :!: )

Bonjour,
N’utilisez pas de mot dont vous ne maitrisez pas le sens, cela vous évitera des déconvenues. Quant à vos menaces de petit caporal, ma brave dame…..
Vous avez été prévenu, vous êtes banni pour une semaine

_________________
Sophie


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Message non luPosté :04 nov. 2013, 16:37 
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Si c'est pour nous servir encore et toujours la version officielle, inutile, circulez, y a rien à voir.
Oui, c'est un peu ce qu'il a la prétention de nous dire: "circulez, y a rien à voir".
Bien joué Anne, vous avez bien manœuvré.
Je n'ai pas compris le "@Thomas Conrié". Conrié connait pas.


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Message non luPosté :04 nov. 2013, 17:17 
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Citation :
Avançons, avançons. Perrault nous narre la déposition de Vuillet au procès en une ligne sibylline : « on su ainsi comment la petite fût tuée ».... C'est tout et c'est se moquer de ses lecteurs!
D'abord, Perrault n'a pas écrit ce que vous dites.
Il a écrit:
Citation :
On sut donc comment était morte la petite victime.
ce qui n'est pas exactement pareil. Mais possible que vous ne voyez pas la "nuance".

Mais Perrault a aussi écrit (juste au dessus de votre citation):
Citation :
le docteur Vuillet dressa l'inventaire des multiples blessures dont était morte Marie-Dolorès.
Il écrit aussi:
Citation :
Sa description ne risquait pas de rester abstraite puisque l'illustration s'en trouvait dans le dossier de la cour, avec les effrayantes photos du cadavre prises sur les lieux du crime et lors de l'autopsie.
Pendant l'audience, lorsque le président les fait circuler, on suit leur sillage sur le visage des jurés : faces soudain crispées, révulsées, regards tout à coup durcis; lèvres serrées et mâchoires comme d'un chien qui veut mordre
.
Donc, rien dans ce qu'a écrit Perrault ne justifie l'accusation que vous portez contre lui: "C'est tout et c'est se moquer de ses lecteurs!"
Pour le coup, si quelqu'un se moque des lecteurs (de ce forum), c'est bien vous.

Citation :
Ainsi il faut bien nous contenter de la version des premiers jours de l'instruction : « elle a été tuée à coups de couteaux et achevée à coups de pierres … sic ». Alors, qu'il est tout simplement inconcevable que le légiste ait tenu des propos si stupides devant la cour ridiculisant son travail d'expert.
Les propos de Vuillet auraient été stupide si au cours du procès, il avait avancé une version comparable à la votre, alors que dans le rapport d'autopsie, il a bien fait état des blessures au dos de la main droite.


Citation :
Nous le voyons, ce point, les conditions de la mort de la petite, reste à étudier et c'est facile ; le rapport d'autopsie et les photos de la malheureuse confiés à des spécialistes nous renseigneraient sur la chronologie des coups portés.
Là, pour éviter les redites, je passe car j'ai déjà beaucoup donné.

Citation :
Ensuite seulement l'examen des tâches sur le pantalon pourrait nous indiquer si elles sont compatibles avec la victime au sol, son tueur au dessus d'elle comme semble l'indiquer ce rapport.
Qu'elle est la partie du rapport qui "semble" indiquer que le tueur était "au dessus de la victime au sol".
Si vous avez bien compris que la tâche de sang sur le pantalon avait été faite par "goutte à goutte", vous n'avez absolument pas retenu que pour l'expert, le porteur du pantalon était en position assise. Si l'expert annonce catégoriquement que le pantalon n'a pas pu servir, non pas "à un meurtre", mais uniquement à celui de la petite Marie Dolores, c'est parce qu'il n'y a aucune tache "projetée" sur ce pantalon.

Citation :
Nous avons les déclarations surprenantes de Cubaynes au lendemain de l'inculpation.
Là, vous avez raison. Cubaynes, a déclaré à la presse:
Citation :
Toutefois, à partir du moment où il reconnaît avoir pris la fuite, le reste coule de source
Comment un policier, parce que Cubaynes est policier, peut-il dire une énormité pareille ?
Cela me rappelle le propos d'un autre policier qui a affirmé: "S'il reconnaît l'accident, c'est lui. Et ce con........"


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Message non luPosté :04 nov. 2013, 19:25 
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Citation :
Là, pour éviter les redites, je passe car j'ai déjà beaucoup donné.
Je comprends votre embarras.....
Citation :
Qu'elle est la partie du rapport qui "semble" indiquer que le tueur était "au dessus de la victime au sol".
Si vous avez bien compris que la tâche de sang sur le pantalon avait été faite par "goutte à goutte", vous n'avez absolument pas retenu que pour l'expert, le porteur du pantalon était en position assise. Si l'expert annonce catégoriquement que le pantalon n'a pas pu servir, non pas "à un meurtre", mais uniquement à celui de la petite Marie Dolores, c'est parce qu'il n'y a aucune tache "projetée" sur ce pantalon.
La petite a été frappée à coups de pierres alors qu'elle était au sol, je ne vois pas pourquoi son tueur l'aurait relevée pour la poignarder..... Le plus vraisemblable est qu'elle ait été saignée alors qu'elle s-y trouvait encore. Le meurtrier était accroupi auprès de sa victime..... Pourquoi voulez-vous qu'il y ait, dans ce cas, des projections de sang, d'autant qu'il semble bien que les perforations soient de plus en plus profondes.......
Citation :
Là, vous avez raison. Cubaynes, a déclaré à la presse:
Citation:
Toutefois, à partir du moment où il reconnaît avoir pris la fuite, le reste coule de source…
Ah l'escroc ! Vous savez bien que je ne faisais pas allusion à cette saillie du commissaire qui d'ailleurs n'est pas du lendemain de l'inculpation mais du soir de l’arrestation...... Vous savez très bien quelle déclaration j’évoquais......
Citation :
Comment un policier, parce que Cubaynes est policier, peut-il dire une énormité pareille ?
Ce n'est pas si énorme, le commissaire possède le 5 au soir des informations qui ne laissent pas beaucoup de place au doute. Un homme est vu sortant d'une voiture avec une petite fille et s'enfuir dans la colline, la fillette est retrouvée quelques heures avant cette déclaration en haut du talus, massacrée.
Il est peut-être un peu hâtif mais pas énorme de considérer le conducteur-propriétaire de la voiture comme l'auteur du crime, d'autant plus qu'il connaît aussi le comportement suspect de ce conducteur à la champignonnière.
Citation :
Cela me rappelle le propos d'un autre policier qui a affirmé: "S'il reconnaît l'accident, c'est lui. Et ce con........"
Encore un flagrant-délit, le deuxième en deux lignes ; je vous parle du Cubaynes du 6 vous me répondez Cubaynes du 5, je vous parle de la confession d'un des avocats de l'accusé , deux ans après les faits et vous me sortez une réplique, 30 ans plus tard, d'un policier ayant participé à l'enquête.....
Je comprends votre embarras.....


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Message non luPosté :04 nov. 2013, 21:02 
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Citation :
D'abord, Perrault n'a pas écrit ce que vous dites.
Il a écrit:
Citation:
On sut donc comment était morte la petite victime.
ce qui n'est pas exactement pareil. Mais possible que vous ne voyez pas la "nuance".

Mais Perrault a aussi écrit (juste au dessus de votre citation):
Citation:
le docteur Vuillet dressa l'inventaire des multiples blessures dont était morte Marie-Dolorès.

Il écrit aussi:
Citation:
Sa description ne risquait pas de rester abstraite puisque l'illustration s'en trouvait dans le dossier de la cour, avec les effrayantes photos du cadavre prises sur les lieux du crime et lors de l'autopsie.
Pendant l'audience, lorsque le président les fait circuler, on suit leur sillage sur le visage des jurés : faces soudain crispées, révulsées, regards tout à coup durcis; lèvres serrées et mâchoires comme d'un chien qui veut mordre.
Donc, rien dans ce qu'a écrit Perrault ne justifie l'accusation que vous portez contre lui: "C'est tout et c'est se moquer de ses lecteurs!"
Pour le coup, si quelqu'un se moque des lecteurs (de ce forum), c'est bien vous.
Après l'avocat du statu-quo, celui des gendarmes et du capitaine Gras, vous voilà le défenseur de Peyro, vous verrez vous finirez celui de Lemeur.......
La nuance, certes mais j'avais écrit de mémoire...... j'étais pas loin.
Peut-être auriez vous dû recopier l’ineffable passage sur les avantages de la photo n&b sur la couleur........, tout ça c'est du roman..... Savez-vous, vous comment est morte la petite ? Tuée à coups de couteaux et achevée à coups de pierres?


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Message non luPosté :08 nov. 2013, 08:40 
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Citation :
Là, pour éviter les redites, je passe car j'ai déjà beaucoup donné.
Citation :
Je comprends votre embarras.....
Ma gène, mon embarras, c'est comme je l'ai écrit, tout simplement d'éviter les redites, de ressortir à nouveau des arguments que vous n'avez pas su "démonter".

Citation :
Qu'elle est la partie du rapport qui "semble" indiquer que le tueur était "au dessus de la victime au sol".
Citation :
La petite a été frappée à coups de pierres alors qu'elle était au sol, je ne vois pas pourquoi son tueur l'aurait relevée pour la poignarder..... Le plus vraisemblable est qu'elle ait été saignée alors qu'elle s-y trouvait encore. Le meurtrier était accroupi auprès de sa victime.....
"le plus vraisemblable" n'est qu'une estimation de votre part, mais vous vous gardez bien de nous dire "Qu'elle est la partie du rapport qui "semble" indiquer que......".
Citation :
La petite a été frappée à coups de pierres alors qu'elle était au sol,
Non, le rapport d'autopsie n'indique pas cela. Sur les coups portés à la tête, seuls les coups portés dans la région fronto-temporale gauche ont été donnés alors que la fillette était au sol. Les autres coups ont donc été donnés alors que la fillette n'était pas au sol.
Citation :
je ne vois pas pourquoi son tueur l'aurait relevée pour la poignarder.....
Il n'a pas eu besoin de le faire puisqu'elle a été poignardée avant.
Citation :
Pourquoi voulez-vous qu'il y ait, dans ce cas, des projections de sang, d'autant qu'il semble bien que les perforations soient de plus en plus profondes.......
Je vous rappelle un de vos message, pas si vieux que ça:
Citation :
5 mm c'est la pointe du couteau. Ne peut-on pas penser que l'assassin a hésité d'abord à piquer, puis qu'il a pris de plus en plus d'assurance au fil des coups portés?
Il est tout à fait possible qu'au cours de cette séquence la jambe du tueur se soit trouvée à angle droit, c'est même probable.
Admettons que la petite soit planquée au sol, reçoive les coups de pierres, le tueur à califourchon sur elle. Pour sortir son couteau de sa poche il lui faut changer de position, idem lors des premières blessures, le sang jaillissant ne l'a t-il pas incité à prendre du recul et à se retrouver accroupi sur ce sol irrégulier, jambe gauche pliée? Le sang ne s'est-il pas écoulé de la lame, de la main à un moment ou à un autre? 2/06/12
Remarquons que c'est seulement à partir du moment où les conclusions de l'expert en morpho-analyse ont été connues, que vous avez commencé à échafauder vos drôles d'hypothèses, que vous allez transformer en affirmations. Remarquons aussi que dans le questionnaire soumis au légiste hollandais, il n'y a aucune question sur l'ordre des coups. A ce moment, personne ne se préoccupait de cela. Même pas vous.

Citation :
Ah l'escroc ! Vous savez bien que je ne faisais pas allusion à cette saillie du commissaire qui d'ailleurs n'est pas du lendemain de l'inculpation mais du soir de l’arrestation...... Vous savez très bien quelle déclaration j’évoquais......
Escroc, rien que cela..........
Sur ce coup là, vous montrez bien facilement, que l'escroc, le manipulateur, c'est vous.
Je rappelle l'échange:
Citation :
Nous avons les déclarations surprenantes de Cubaynes au lendemain de l'inculpation.
Citation :
Là, vous avez raison. Cubaynes, a déclaré à la presse:
Citation :
Toutefois, à partir du moment où il reconnaît avoir pris la fuite, le reste coule de source…
Je dis que vous avez raison, le policier Cubaynes était capable de déclarations surprenantes et c'est tout. Je ne me prononce pas sur les déclarations que vous attribuées à Cubaynes, " au lendemain de l'inculpation" et j'aurais bien du mal à le faire, puisque je n'ai pas connaissance de déclarations faites par Cubaynes, le 7 juin. La juge a prononcé l'inculpation de Ranucci le 6 juin vers 19h. Donc, le lendemain de l'inculpation, pour moi, c'est le 7 juin.
Vous avez le droit de dire que les déclarations de Cubaynes d'un certain jour sont surprenantes et j'ai aussi le droit de dire que les déclarations de Cubaynes d'un autre jour, sont tout aussi surprenantes.

Citation :
Comment un policier, parce que Cubaynes est policier, peut-il dire une énormité pareille ?
Citation :
Ce n'est pas si énorme, le commissaire possède le 5 au soir des informations qui ne laissent pas beaucoup de place au doute. Un homme est vu sortant d'une voiture avec une petite fille et s'enfuir dans la colline, la fillette est retrouvée quelques heures avant cette déclaration en haut du talus, massacrée.
Ce que vous dites est faux. Le 5 au soir, aucun témoin n'a encore affirmé avoir vu un homme sortant de la voiture avec une petite fille.

Citation :
Il est peut-être un peu hâtif mais pas énorme
Hâtif certainement, énorme, cela dépend de la perception que l'on se fait, de la présomption d'innocence. S'agissant d'une accusation qui pouvait entrainer une condamnation à mort, énorme n'est pas excessif.

Citation :
de considérer le conducteur-propriétaire de la voiture comme l'auteur du crime,
Non, parce que le 5 au soir, il n'y a pas la moindre preuve que l'accident et le crime soient liés.


Citation :
d'autant plus qu'il connaît aussi le comportement suspect de ce conducteur à la champignonnière.
Il n'y a rien de suspect dans le comportement de Ranucci à la champignonnière. D'autre part, le lien entre le crime et la champignonnière ne se fait qu'avec la découverte du couteau. Donc, le 5 au soir, ce lien n'existe pas.
Citation :
Cela me rappelle le propos d'un autre policier qui a affirmé: "S'il reconnaît l'accident, c'est lui. Et ce con........"
Citation :
Encore un flagrant-délit, le deuxième en deux lignes ; je vous parle du Cubaynes du 6 vous me répondez Cubaynes du 5,
Non, vous n'avez pas parlé de Cubaynes du 6, vous avez parlé de Cubaynes "du lendemain de l'inculpation".


Citation :
je vous parle de la confession d'un des avocats de l'accusé , deux ans après les faits et vous me sortez une réplique, 30 ans plus tard, d'un policier ayant participé à l'enquête.....
Désolé, mais quand vous avez écrit:
Citation :
Nous avons les déclarations surprenantes de Cubaynes au lendemain de l'inculpation. Un de ses avocats aurait évoqué la possibilité d'aller au delà de l'acte de l'accusation pour révéler l'anormalité de son client et ainsi en plaidant la monstruosité, tenter la maladie mentale pour sauver la vie de son client. Un autre de ses avocats n'exclue pas que nous ayons à faire à un coupable 'problématique' .......
rien n'indique qu'il faut faire un lien entre les deux phrases. Je n'ai donc fait un commentaire que sur la première phrase.


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Message non luPosté :08 nov. 2013, 08:43 
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Citation :
Après l'avocat du statu-quo, celui des gendarmes et du capitaine Gras, vous voilà le défenseur de Peyro, vous verrez vous finirez celui de Lemeur.......
Vous faites des raccourcis qui n'ont aucun sens. Vous reprendre sur les choses erronées que vous avez écrites, à propos d'un livre, ce n'est en aucun cas être l'avocat de son auteur. Avec le même raisonnement, demain vous pourriez être amené à dire que je suis l'avocat de Bouladou. Ce qui reconnaissait le serait absurde.
Citation :
La nuance, certes mais j'avais écrit de mémoire...... j'étais pas loin.
Et c'est certainement la faute de votre mémoire si vous avez oublié tout ce que raconte Perrault, avant la "ligne" que vous avez qualifiée de "sibylline".
Citation :
Peut-être auriez vous dû recopier l’ineffable passage sur les avantages de la photo n&b sur la couleur........, tout ça c'est du roman.....
Je ne vois pas le rapport.
Citation :
Savez-vous, vous comment est morte la petite ? Tuée à coups de couteaux et achevée à coups de pierres?
Oui. Oui


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Message non luPosté :08 nov. 2013, 21:16 
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Citation :
Non, le rapport d'autopsie n'indique pas cela. Sur les coups portés à la tête, seuls les coups portés dans la région fronto-temporale gauche ont été donnés alors que la fillette était au sol. Les autres coups ont donc été donnés alors que la fillette n'était pas au sol.
Quels autres coups ???? Vous voulez parler des coups de couteaux ? Vous avez les photos pas moi. Je crois qu'il est dit que le vêtement de la petite était imbibé surtout sur le haut... Pouvez-vous confirmer ?
Citation :
Il n'a pas eu besoin de le faire puisqu'elle a été poignardée avant.
Non je ne le crois pas. Je ne suis pas criminologue mais ça n'a aucun sens. On peut constater que la petite a été massacrée ici dans l'urgence derrière les arbres au milieu du chemin ou presque. Le ravisseur n'avait pas l'intention de tuer sa proie ici en montant le talus quatre à quatre avec son couteau en main en quittant sa voiture. Ce sont bien les pierres qu'il a trouvées en premier quant-il s'est jeté au sol.
Citation :
Remarquons que c'est seulement à partir du moment où les conclusions de l'expert en morpho-analyse ont été connues, que vous avez commencé à échafauder vos drôles d'hypothèses, que vous allez transformer en affirmations. Remarquons aussi que dans le questionnaire soumis au légiste hollandais, il n'y a aucune question sur l'ordre des coups.
Vous me faites peur, ressortir un de mes messages 1 an et demi plus tard.... Pas si vieux dites-vous, je pense que puisque vous avez les photos nous pourrions en avoir le cœur net en soumettant les éléments à des experts.
Je ne fonctionne pas comme vous, moi c'est plutôt au feeling, je ne me souviens pas c'est peut-être une remarque de Rose qui m'avait interpellée. Il y a bien longtemps que je sais que ranucci a minimisé ses aveux au moins sur trois points ; le mobile de l'enlèvement, le mode opératoire du meurtre et........ J'ai fini par me procurer les fables de Perrault, 2 euros dans un vide grenier et j'ai été surpris de constater que mon intuition trouvait un écho auprès d'un des meilleurs connaisseurs de l'affaire sinon le meilleur et surtout du condamné, je parle vous l'avez compris de Maitre Fraticelli.
Je ne suis pas certain d'avoir consulté les conclusions de l'expert puisque je suis bien d'accord que l'assassin ne portait pas ce pantalon lors du crime qu'il a raconté, mais je pense que c'est la narration qui cloche......
Citation :
A ce moment, personne ne se préoccupait de cela. Même pas vous.
J'essaye d'apporter des pistes de réflexions. Je suis convaincu qu'avec un peu de bonne volonté nous pourrions arriver à solutionner cette affaire.
Citation :
Je dis que vous avez raison, le policier Cubaynes était capable de déclarations surprenantes et c'est tout. Je ne me prononce pas sur les déclarations que vous attribuées à Cubaynes, " au lendemain de l'inculpation" et j'aurais bien du mal à le faire, puisque je n'ai pas connaissance de déclarations faites par Cubaynes, le 7 juin. La juge a prononcé l'inculpation de Ranucci le 6 juin vers 19h. Donc, le lendemain de l'inculpation, pour moi, c'est le 7 juin.
Vous avez le droit de dire que les déclarations de Cubaynes d'un certain jour sont surprenantes et j'ai aussi le droit de dire que les déclarations de Cubaynes d'un autre jour, sont tout aussi surprenantes.
Et patati et patata... Nous n'allons pas mettre 1 an et demi à y arriver. Vous savez très bien de quelles déclarations je parle........
Citation :
Ce que vous dites est faux. Le 5 au soir, aucun témoin n'a encore affirmé avoir vu un homme sortant de la voiture avec une petite fille.
Faux, nous avons le télégramme de l'après-midi qui prouve qu'il y a bien quelqu'un qui a parlé de fillette.
Citation :
Non, parce que le 5 au soir, il n'y a pas la moindre preuve que l'accident et le crime soient liés.
Si le numéro de la voiture qui a provoquée l'accident et bien là même arrêtée, à l'aplomb du lieu où a été découvert le corps. C'est la perception des enquêteurs à ce moment.
Citation :
Il n'y a rien de suspect dans le comportement de Ranucci à la champignonnière. D'autre part, le lien entre le crime et la champignonnière ne se fait qu'avec la découverte du couteau. Donc, le 5 au soir, ce lien n'existe pas.
Ouais... Bon cacher sa voiture dans un trou, ne pas donner d'explications cohérentes à cette présence, c'est quand même un peu suspect......Encore une fois c'est a voiture qui fait le lien, en plus de la présence suspecte du ...suspect.


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Message non luPosté :09 nov. 2013, 11:46 
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Remarquons aussi que dans le questionnaire soumis au légiste hollandais, il n'y a aucune question sur l'ordre des coups. A ce moment, personne ne se préoccupait de cela. Même pas vous.
Je reviens sur votre réflexion.
C'est aussi pour cela qu'il me semble que ma présence ici est nécessaire. Franchement cela ne m’intéresserait pas de répéter, même en les aménagent, des arguments vieux de près de quarante ans. Je pense qu-on peut faire encore du neuf.
Ce dossier est pourri, faut comprendre pourquoi. En ayant une autre lecture on a une vision globale beaucoup plus cohérente. Dans cet exemple si les aveux sont minimisés, l'acte confessé déjà terrible , passible deux fois de la peine de mort, serait encore plus terrifiant, il dépasserait l'horreur, l'entendement....
Un autre exemple, la complicité est parfois évoquée pour être aussitôt écartée, pour quelles raisons objectives ? Sans parler de la simca à Ste Agnès, nous ne connaissons pas l'emploi du temps du suspect pour ce week-end et nous comprenons bien qu'il ment à ce propos. Nous avons aussi cette champignonnière qu'il fallait connaître pour s'y réfugier et tout l’attirail dans la voiture .......
Sur la personnalité du jeune suspect que de pistes négligées..... Sa mère n'exclue pas au premier jour de l'arrestation de son fils, qu'il aurait pu emmener cette fillette promener pour ne pas être seul. Pourquoi nous priver de cette éventualité ?
Voyez aussi ce tas d'ajoncs, un mètre-cube dit-on, coupé à mains nues, au couteau peut-être. Possible, pas possible, après essais cela me semble possible en peu de temps..., notre suspect l'avoue et a les mains abîmées, peut-être pourrions-nous partir de ce constat. J'avais imaginé retour sur le talus, plausible mais pas nécessaire.....
Un autre encore ; la roue changée indique clairement que ranucci a effectué cette réparation avant de descendre dans le tunnel. Dans cette affaire où il y a beaucoup de mystères, voilà un fait difficilement réfutable car établi. Il met à mal, pour dire franchement il ruine toutes les stupidités de salto arrière dans le confinement d'un coupé et d'un opportunisme machiavélique d'un tueur croisé là par hasard. C'est là aussi, le changement de la roue, un fait dont personne ne se préoccupait et tout le monde , comme son initiateur, feignait d'en oublier l'importance.... Que de temps nous aurions pu gagner. Imaginez un instant quiconque (de sérieux) parler, aujourd'hui, d'évanouissement et de réveil dans le noir, il serait sur le champ crucifier par le ridicule. Ses thèses avancées deviendraient pour le moins suspectes et les motivations de sa démarche mériteraient une attention particulière dans cette affaire où, faut-il le rappeler, il est question de la mort atroce d'une petite fille.


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Message non luPosté :10 nov. 2013, 17:13 
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Extrait du France Soir du 06 juin 1974:
…Au premier étage du bâtiment C7 de la cité Saint-Agnès, les volets sont tirés. Dolorès Rambla, la mère, se tient dans sa chambre auprès de la photo de sa fille. Des voisins ou des amis s’occupent de Noël et Carine, les jumeaux, âgés de 4 ans. Quant à Jean, l’unique et fragile témoin du drame, il ne quitte pas son père. Originaire de Malaga, Pierre et Dolorès Rambla étaient arrivés à Marseille il y a une dizaine d’années. Ils vécurent d’abord à Montolivet, une banlieue voisine, avant de s’installer, il y a quatre mois, dans l’appartement de trois pièces de la cité Sainte-Agnès.
Extrait du Cirque Rouge :
… Aussi, je déposais une demande pour tenter d'obtenir un appartement plus spacieux dans une HLM. Sur place, l'employé de bureau qui me recevait m'affirma que je n'y avais pas droit. Quelque temps plus tard, je renouvelais consciencieusement ma demande sans plus de succès. Résigné, je fis alors le tour des agences immobilières, pour enfin trouver et emménager dans un coquet appartement ensoleillé du boulevard Roux prolongé [Cité Beausoleil]…
Citation :
Extrait du ‘’Le dernier guillotiné’’ de Jean-Yves Le Naour :
…Sa difficulté [ celle de Djandoubi] à retrouver un emploi après l’accident ajoute encore à son amertume. A l’ANPE, on lui trouve un travail de vendeur dans une droguerie dans le quartier de Montolivet de janvier à mars 73…
Ainsi, de janvier à mars 1973, Djandoubi a travaillé dans le quartier Montolivet, qui est le même quartier que celui où habitait la famille Rambla à cette époque. Sur ce point là, je rajouterais également que dans le livre de J-Y Lenaour, il est mentionné qu’après avoir quitté son emploi, Djandoubi, resté en très bons termes avec le patron de la droguerie reviendra très régulièrement voir ce même, avec lequel il a d’ailleurs même sympathisé, et ceux jusqu’à son arrestation. Et il faut savoir que le quartier Montolivet est un quartier limitrophe de celui de Saint Agnès.
Citation :
Extrait du France Soir du 05 juin 1974:
Seul ce fragile témoignage d’un tout petit garçon va guider les policiers dans leurs recherches. Les différents contrôles effectués lundi soir dans le monde interlope des maniaques n’a rien donné. Chaque heure qui s’écoule sans que soit retrouvée Marie-Dolorès permet de redouter le pire. Pierre Rambla et sa femme ne comprennent pas. Ce couple d’Espagnols naturalisés français ne se connait pas d’ennemi. Ouvrier boulanger, boulevard Notre-Dame à Marseille, M. Rambla est actuellement en congé de maladie. Sa femme se consacre à l’éducation des quatre enfants : Marie-Dolorès, 8 ans ; Jean, 6 ans, et les deux jumeaux Noël et Carine, 4 ans.
Extrait du Pull-Over Rouge :
Pierre Rambla rentre chez lui vers onze heures vingt. Ouvrier –boulanger au ‘’Pompon Rouge’’, boulevard Notre-Dame, il est en congé de maladie depuis 15 jours.
Citation :
Extrait du ‘’Le dernier guillotiné’’ de Jean-Yves Le Naour :
En septembre 73, c’est une révolution pour les deux jeunes amants, qui ne sont plus obligés de cacher leurs ébats au foyer de travailleurs, depuis que Djandoubi a loué un studio au 1er étage d’un immeuble collectif sis au 17, rue Villas-Paradis.
Encore plus troublant est le fait que de septembre 1973 jusqu’à la date de son arrestation Djandoubi réside dans le quartier Notre Dame, quartier dans lequel travaille depuis un certain temps déjà Pierre Rambla à l’époque des fait.
Troublant aussi est la date du meurtre d’Elisabeth Bousquet. Il l’a tue un mois jour pour jour après qu’ait eu lieu l’assassinat de MD Rambla, soit dans la nuit du 03 au 04 juillet 1974.
Citation :
I ) Extrait de la déposition de JB. Rambla du 04 juin 1974 :
… C'était un homme jeune, pas un vieux … Il était grand et il avait les cheveux noirs et courts.
A l’époque de son arrestation, Djandoubi est jeune (28ans). Comme on peut le voir sur la photo, il est grand et a les cheveux noirs.
Pour les cheveux courts que montre Djandoubi, aux premiers abords cela peut se discuter parce que sur la photo ci-dessus, celui-ci est déjà arrêté, et que c’est pour raison disciplinaire qu’il les a coupé ras. Mais avant le crime, de quelle taille était la longueur de ses cheveux ? Je pense pouvoir apporter une réponse.
Extrait de Wikipédia :
En 1973, il tente par la force de prostituer sa jeune maîtresse, Élisabeth Bousquet, âgée de 20 ans, et celle-ci dépose plainte. Après avoir passé plusieurs mois en prison, il jure de se venger.
En juillet 1974, il kidnappe Élisabeth, la conduit chez lui et la torture pendant des heures. Il la transporte ensuite nue et sans connaissance dans la campagne, jusqu'à une quarantaine de kilomètres de Marseille. Il la cache alors dans un cabanon et l'étrangle. Le corps est trouvé quelques jours plus tard par des enfants.
On se rappelle que c’est en septembre 1973 que le couple s’installe dans le quartier Notre Dame. Avant, Djandoubi résidait au Foyer Sonacotra de Marseille 28 rue des Goumiers. Il a donc tenté certainement tout de suite après son aménagement de prostituer sa jeune compagne. Il a donc purgé quelques mois de prison pour cela. Il a dû certainement sortir de prison au cours du premier semestre 1974. Quand exactement ? Je n’en sais rien. S’il était toujours en prison le 03 juin, alors, Djandoubi ne peut pas être le meurtrier de MD Rambla. Autrement, le fait qu’il soit son meurtrier est possible, comme est certainement fort possible que venant de sortir de prison récemment, le 03 juin 1974 la chevelure de Djandoubi n’ayant pas eu le temps de trop pousser, sa coupe de cheveux était restée courte.
Citation :
II ) Extrait de la déposition de JB. Rambla du 04 juin 1974 :
… Il avait un costume gris …
Je met ici ce que dit J Y. Le Naours
Extrait du ‘’Le dernier guillotiné’’ de Jean-Yves Le Naour :
… Mais il aime [Djandoubi] être élégant et habillé à la dernière mode : chemises à fleur avec col pelle à tarte à moitié déboutonnées pour exhiber une chaîne en or, flottant sur sa poitrine velue, pantalons pattes d’éléphant, costumes cintrées. Quand il rend visite à son ancien employeur, l’Horticulteur Désirée Boyer, celui-ci remarque avec étonnement que son ex salarié est tiré à quatre épingles…
En résumé, l’homme qui a kidnappé MD portait un costume et comme par hasard, Djandoubi aimait être bien habillé en toutes circonstances

III ) Je saisi également ici l’opportunité pour reparler à nouveau de cette histoire d’argeras pour dire que Djandoubi a travaillé pendant assez longtemps chez L’horticulteur Boyer. C’est même chez lui qu’il aura cet accident de motoculteur qui le rendra infirme. Djandoubi a donc dû apprendre à connaître les espèces florales, en particulier méditerranéennes et également il a certainement dû apprendre à se servir d’une faucille.
Citation :
IV ) Extrait de la déposition de JB. Rambla du 04 juin 1974 :
… Il parlait comme les gens d'ici…
Citation :
Extrait du ‘’Le dernier guillotiné’’ de Jean-Yves Le Naour :
… A peine débarqué, le 18 septembre 1968, le jeune homme se rend chez un épicier de la rue Christophe Colomb, un brave nommé Vénéruzio Commandeur…
Originaire de Tunisie, je ne pense pas que Djandoubi ait pu attrapper l’accent marseillais. Mais…
Citation :
Extrait du ‘’Le dernier guillotiné’’ de Jean-Yves Le Naour :
… Le jeune homme passé maître dans l’art de la manipulation, reconnait une partie des faits, pour mieux relativiser les accusations de sa maîtresse …
… Et donc pourquoi Djandoubi, s’il y est pour quelque chose dans l’enlèvement et le meurtre de MD Rambla, n’aurait pas imiter l’accent marseillais lorsqu’il s’est adressé à JB Rambla et sa sœur ?

V ) J’ai la chance d’avoir travaillé avec J Y. Le Naours. J’ai donc ses coordonnées téléphoniques. Selon lui, Djandoubi n’était pas attiré par les pré-adolescents ; il n’était donc pas pédophile. Mais je lui ait répondu que dans son livre, on apprend que tout de suite après que sa jeune maîtresse Elisabeth bousquet le quitte, il a séquestré (jusqu’à son arrestation) chez lui, deux adolescentes, qu’il a battu et violé régulièrement. Pourquoi n’aurait-il pas était attiré par des enfants plus jeune, de l’âge de MD Rambla par exemple ?

Prochainement je parlerais de ‘’l’élément voiture’’. Vous verrez que c’est également troublant
A suivre


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Message non luPosté :10 nov. 2013, 17:16 
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La photo de Djandoubi que j'ai oublié de mettre
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Djandoubi.jpg


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Message non luPosté :10 nov. 2013, 23:06 
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apparemment Hamida Djandoubi était en prison le 3 juin 1974;il ne peut donc etre ni l'homme au POR ni le ravisseur//tueur...

http://www.huffpostmaghreb.com/2013/10/ ... 83423.html

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Message non luPosté :10 nov. 2013, 23:47 
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Citation :
apparemment Hamida Djandoubi était en prison le 3 juin 1974;il ne peut donc etre ni l'homme au POR ni le ravisseur//tueur...

http://www.huffpostmaghreb.com/2013/10/ ... 83423.html


Il faudrait avoir une source sure pour sa date de libération car dans cet article les auteurs ont peut etre extrapolé à partir d'autres articles....dont celui de l'express

.

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Message non luPosté :11 nov. 2013, 10:18 
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Citation :
apparemment Hamida Djandoubi était en prison le 3 juin 1974;il ne peut donc etre ni l'homme au POR ni le ravisseur//tueur...

http://www.huffpostmaghreb.com/2013/10/ ... 83423.html


Il faudrait avoir une source sure pour sa date de libération car dans cet article les auteurs ont peut etre extrapolé à partir d'autres articles....dont celui de l'express

.
Il me semble, Hamida Djandoubi et sortie de prison au tout début du printemps 1974.


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