Réfléchissez bien aux racines du mal...

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La justice, c'est comme la Sainte Vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe

Bon, voilà, vous avez choisi.
C'est lamentable, parce que tel que c'est écrit, pour se tromper, il faut bien le vouloir.

C'est tout réfléchi et je persiste.

oui mais c'est justement ce que Ranucci voulait contredire puisqu'il ne croit plus en sa culpabilité donc forcément cela signifie qu'il s'est rendu à Marseille mais pas à l'endroit que l'accusation veut lui imposer...voilà ce sur quoi il voulait s'expliquer ainsi que sur d'autres points mais la juge ne l'a pas laissé faire...D'où sa requête du 28 décembre.

Je ne sais pas de quel choix vous parlez
Pas du tout ,c'est une question d'interprétation .
Si vous y voyez une volonté quelconque c'est plutot de la votre,de volonté, dont il est question.

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C'est bien ce qui m'inquiete...6 ans de fourvoiement...

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Vous oubliez d'expliquer la phrase :"dont j’ai dessiné le plan que vous me présentez de nouveau";pourquoi les mots "de nouveau"?

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Arlaten écrit
Vous avez raison. Il est assez scandaleux d'entendre que dans cet interrogatoire, Ranucci reconnaît qu'il a caché le couteau alors que non seulement il ne le dit pas, mais qu'il déclare ne pas savoir ce qu'il a fait du couteau.

plus précisément RANUCCI dit :
Je reconnais par contre que c’est bien moi qui ai indiqué aux enquêteurs à quel endroit était le couteau m’appartenant et que vous m’avez montré lorsqu’il a été retrouvé. Mais par contre, je ne sais pas ce que j’ai pu faire avec ce couteau. Je ne me souviens pas avoir mortellement frappé quiconque."


Comment expliquez-vous que RANUCCI sache à quel endroit est caché le couteau, qu'il reconnait en avoir indiqué l'endroit au enqueteurs, mais qu'en meme temps ce n'est pas lui qui l'a caché ? *
et qu'au lieu de développer, d'indiquer un autre coupable, il conclue qu'il n'a rien d'autre à ajouter ! et qui pis est, sans jamais y revenir dans sa lettre du lendemain ?

Ses avocats non plus d'ailleurs, puisqu'ils ont recu une copie de cette lettre ...

l'Essentiel" aurait pourtant été celà ....Alors, un peu de cohérence s'il vous plait, RANUCCI jouait sa tete, il le savait et ses défenseurs aussi ...

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. Croire ce qui est, non ce qui plaît relève de l'hygiène mentale.

« l'imaginaire du complot est insatiable, et la thèse du complot, irréfutable : les preuves naïvement avancées qu'un complot n'existe pas se transforment en autant de preuves qu'il existe ».[

non je n'oublie rien du tout, c'est vous qui ne voulez pas entendre.
La juge a fait noter en préambule les propos de Ranucci : "je ne suis d'accord avec rien..je ne crois plus en ma culpabilité."
Mais pour le faire passer pour un menteur qui se contredit, elle a fait noter qu'il reconnaissait avoir dessiné le plan qui constitue la côte D24 pour insinuer clairement qu'il s'était bien rendu à la cité ste-Agnès. Or, c'est bien cela que Ranucci voulait contredire mais la petite juge n'a rien voulu entendre à part un seul son de cloche, celui de la culpabilité. Même manoeuvre avec le couteau.
Cet interrogatoire a été mené tel un chat qui retombe toujours sur ses pattes.

jpas95


Et vous comment retomberiez-vous sur vos pa-pattes, en réponse à la question déjà posée, mais toujours éludée :
"comment "expliqueriez" vous de facon cohérente bien sur que ni RANUCCI, ni ses avocats n'aient jamais jugé utile de revenir par la suite sur un sujet d'une telle importance ?"

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. Croire ce qui est, non ce qui plaît relève de l'hygiène mentale.

« l'imaginaire du complot est insatiable, et la thèse du complot, irréfutable : les preuves naïvement avancées qu'un complot n'existe pas se transforment en autant de preuves qu'il existe ».[

j'ai déjà répondu plusieurs fois à cette question.
Les avocats de Ranucci ont abandonné leur client à son triste sort. Ils l'ont très peu assisté lors des différentes confrontations chez la juge...Il est vrai aussi que la petite doudouce n'a pas été très coopérative non plus.

Toujours dans l'interprétation ... et dans le registre "FACTUEL" c'est quoi vos arguments ?

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. Croire ce qui est, non ce qui plaît relève de l'hygiène mentale.

« l'imaginaire du complot est insatiable, et la thèse du complot, irréfutable : les preuves naïvement avancées qu'un complot n'existe pas se transforment en autant de preuves qu'il existe ».[

Il dit qu'Elle lui a présenté le plan et qu'il reconnait l'avoir dessiné.Et il signe tout ça.

Les faits sont tétus!!!!!!

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Et si il a été piégé par les policiers 6 mois auparavant il est d'autant plus sur ses gardes pour ne plus signer n'importe quoi!!

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d'accord alors donc pour vous quand il dit qu'il n'est d'accord avec rien et qu'il ne croit plus en sa culpabilité, ça veut forcément dire qu'il est bien allé à la cité ste-Agnès le 3 juin vers 11h-11h30 et que c'est lui qui a tué la petite avec le couteau puisque c'est lui, selon l'accusation, qui a indiqué précisément où était enterré le couteau ?