Citation :
Quand M Rosano rentre de sa journée de travail le 3 juin, il entend sûrement parler de l'enlèvement de la petite Marie-Dolorès.
S'il avait vu un type appuyé contre un poteau électrique pendant un certain temps, qui plus est un étranger, on ne comprend pas qu'il ne décide pas d'aller témoigner spontanément pour raconter ce qu'il a vu.
De plus, il en aurait surement parlé à des voisins qui en auraient eux-mêmes parlé autour d'eux. Le bouche à oreille fait rapidement tourner les nouvelles.
Il s'agit quand même de l'enlèvement d'une enfant, pas de la disparition du chat de la mère Michel.
C'était très important de témoigner, c'était même capital. Ca s'imposait.
Or, il ne l'a pas fait. Je pense que le doute n'est pas permis en affirmant qu'il n'a rien vu ou qu'il n'a pas prêté attention ce jour là.
Rosanno vient faire son intéressant 30 ans plus tard.
Evidemment, il travaillait sur les lieux du crime ou on ne parlait que de ceux, il a du en parler avec la moitié du quartier..
Par contre, tu parles du chat de la mère Michel comme d'un détail, mais je doute que ce soit l'avis du successeur de Di Marino