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Là, ce n’est pas un type de pneu, mais deux. Donc un dessin différent à droite et à gauche. De plus, comme je l’ai dit plus haut, la roue de gauche est équipée d’un pneu clouté (déclouté). Des « détails » qui limitent la possibilité de trouver un autre véhicule équipé de la sorte.
Oui c'est vrai, mais ça peut être la conséquence d'un passage de 2 voitures, une trace pour le pneu droit, l'autre pour le gauche.
Vous voulez dire que pour la première voiture, seule la roue arrière d’un côté aurait laissé une trace et que pour la deuxième voiture ce serait la roue arrière du côté opposé qui l’aurait fait. Non, cela devient du cirque, ou de la prestidigitation, voire du paranormal. Impossible.
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Les deux traces ne sont pas à la même hauteur
Vous voulez dire les moulages ?
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Et çà apporte quoi l’usure des pneus qu’il faut déjà « interpréter », comparer aux autres indices qui permettent de confondre le véhicule.
Ca apporte de ne laisser aucune place aux doutes.
Place aux doutes, quels doutes ? de quoi était-il possible de douter ?
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Je réitére la question à laquelle vous n’avez pas répondu : Est-ce que sans les moulages, il était impossible d'avoir la certitude que c'était bien la voiture de Ranucci qui se trouvait dans la galerie dans l'après midi du 3 juin ?
Pour moi oui il est impossible d'avoir la certitude, sans les moulages on peut dire si c'est le même type de pneu.
Le même type de pneus ?????? C’est une plaisanterie.
« Sans les moulages », encore un tour de force. Je crois plutôt que c’est « avec les moulages » qu’il est possible de déterminer le type de pneus.
Avec les numéros de la plaque d’immatriculation, avec le « carton » qu’il y a sur la portière gauche et l’aile arrière gauche, avec les témoignages de Gazzone et Rahou, les gendarmes et policiers n’avaient pas besoins du type de pneus pour avoir la certitude que bla bla bla………………
A vous écouter, il serait impossible de confondre un véhicule si on ne dispose pas de l’empreinte des ses pneumatiques.
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Ce n’est pas exact, mais si vous admettez d’entrée que les gendarmes se sont trompés, n’écartez pas le fait qu’ils aient pu commettre d’autres erreurs.
Ah si, c'est tout à fait exact, les gendarmes se sont trompés sur la culpabilité de C. Ranucci.
Vous n’avez pas l’avis de tous les gendarmes, ayant participé à l’affaire. Ce que vous dites est donc inexact.
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Vous pouvez pas affirmer le contraire sans l'appuyer
Désolé, je ne comprends pas.
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Il est possible d’avancer une explication plus rationnelle que celle ubuesque que vous avancez. D'autant que vous ne cherchez même pas à la corroborer.
Si vous avez une autre explication je suis preneur.
Est-il impossible qu’il y ai une erreur sur la mesure ou sur la transmission de l’information ?
Ranucci avait un coupé 304. Vous utilisez les données techniques de ce modèle de voiture, mais que savez-vous des données techniques de la 304 de Ranucci ?
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Je ne comprends pas pourquoi je pourrais la corroborer.
Pourquoi quoi ? Pourquoi vous pouvez, ou pourquoi vous devez ?
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A écouter Guazzone, il est possible de croire qu’il y avait plus d’une trace de roulage. Quand les gendarmes s’intéressent aux traces de pneumatiques laissées dans la galerie, il ne savent pas si les traces qu’ils considèrent comme les plus fraîches, ont bien été faites par la voiture du suspect. C’est l’expertise faite avec la voiture, dans la cour de l’Evéché, qui va confirmer que les traces identifiées par les gendarmes correspondent exactement à la voiture de Ranucci et pas à un autre véhicule.
Comment ils peuvent alors dire que les traces non photographiées et non moulées sont celles de la Peugeot 304 en étant à l'Evéché?
Vous vous trompez. L’inspecteur Lagrave, qui n’est pas gendarme mais policier, celui qui a fait l’expertise à l’Evéché ne le dit pas.
Ce policier a fait correctement son travail, puisqu’il a corrigé une erreur faite par la gendarmerie. Le scellé N°6 concerne la roue arrière gauche et non pas avant gauche, comme nous pouvons le lire sur les documents de gendarmerie. Lui, avait ce qu’il fallait pour la corriger.
Cela montre qu’une erreur faite sur le terrain entraîne une information erronée, colportée ensuite par plusieurs personnes. Le capitaine Gras a repris l’erreur. Le gendarme « dessineux », aussi.
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De la constatation des gendarmes, nous pouvons avoir la certitude que les traces à 32 m au fond de la galerie ont bien été faites par la voiture de Ranucci. De ce fait, l’affirmation qu’une voiture serait venu dans la galerie, après le passage de Ranucci et sans laisser aucune trace, est nulle et non avenue.
Comment avoir la certitude alors qu'aucune expertise n'a été faite ?
Juste sur la bonne gueule des gendarmes ?
Non pas la gueule, le professionnalisme des gendarmes.
Une expertise pourquoi faire ?
Dans la galerie, les gendarmes ont fait un constat.
Dans le 610/2, le Capitaine Gras a bien écrit :
A 32,20 mètres de l’entrée, les dernières traces de roulage sont visibles. Il ne semble pas que la 304 ait été plus avant à l’intérieur.
Nous constatons que ces traces sont séparées par 1,50 mètre voie extérieure et que la trace droite mesure 14 centimètres de largeur.
S’il ne lui semble pas que la 304 ait été plus loin, c’est que pour lui, les dernières traces, celles à 32.2m sont celle de la 304.
Si les gendarmes n’avaient pas fait ce constat, autrement dit, s’ils avaient trouvé des traces (dessins) différentes, ils auraient fait d’autres photos et d’autres moulages.
Par principe sur les roues d’un même train, il faut monter des pneus identiques. Il n’y aurait rien eu d’étonnant à ce que les gendarmes trouvent deux traces identiques. Là, ils ont trouvés deux traces différentes, et ils ont fait………….deux moulages.
Quand la phrase : « Nous constatons que ces traces sont séparées par 1,50 mètre voie extérieure……. » est sortie de son contexte, on peut lui faire dire ce que l’on veut. Maintenant, quand nous lisons le paragraphe, il n’y a aucune ambiguïté. Le capitaine Gras ne parle pas d’une deuxième voiture, mais seulement de la 304.
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Nous parlons de la réalisation du moulage des traces de pneus. Pour ce faire, il n’était pas nécessaire d’envoyer « les troupes ». Un ou peut être deux gendarmes, cela devait suffire et il y a bien des documents qui attestent que le 6, il y avait des gendarmes, du côté de la champignonnière.
Elles étaient où les traces à mouler ?
Du côté de la champignonnière
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Pour ma part, je n’affirme pas que les moulages ont été effectués le 6. Compte tenu de ce « manque », je me contente de dire que les moulages ont pu aussi être réalisés le 6.
Vous n’avez toujours pas trouvé l’argument qui peut contredire cela et vous persistez a affirmer une chose que vous savez non écrite.
Ils ont peut-être été fait le 15 Juin et que tous les documents ont été anti-datés.
Non, cela je suis sûr que ce n’est pas possible. Et vous aussi.