Citation :
Il faudrait donc considérer également que l'homme au pull over-rouge ait, tout comme Ranucci été obligé de s'arrêter là à cause d'on ne sait quoi ce qui augmente encore la somme des coïncidences troublantes.
Le clos de la Doria, c'est calme, il ne sera pas dérangé pour agresser la fillette. Il se retrouve sur la nationale parce que la fillette sort de la voiture et va tout droit dans le premier sentier qu'elle trouve. Ce qui tendrait à penser que la voiture de cet homme s'est engagée en marche avant dans ledit Clos de la Doria.
Donc elle remonte le sentier et elle traverse la rn8bis en biais, et monte le talus. Elle perd la chaussure à cet endroit et du coup ne peut plus courir, le type l'a rattrapée et l'a tuée.
Citation :
- que les Aubert se soient gourrés et qu'ils aient aperçus en fait la voiture du mystérieux tueur et donc le tueur en sortant avec une fillette, tout en croyant qu'il s'agissait de l'accidenté CR. Mais je ne crois pas ça possible car ils ont bel et bien relevés le n° et la marque de la voiture et c'était bien celle de Ranucci.
C'est pour cela que cette version ne tient pas. La voiture du meurtrier n'est pas garée à cet endroit. Ce n'est pas possible puisqu'alors la gamine n'aurait pratiquement aucune griffure, or là ses jambes en sont couvertes.
Non les Aubert voient bien la voiture de Ranucci mais il n'ont pas pensé regarder dans la voiture et n'ont pas vu Ranucci dormir, ils ont cru que la forme qu'ils apercevaient en haut de la colline en train de traîner le corps ou de tirer des branchages, c'était le conducteur. Le problème c'est que dans la version que je propose, ce n'était pas le conducteur.
Ils n'ont pas vus non plus la voiture du meurtrier dans ce cas car elle est garée dans le clos de la Doria en contrebas.
Citation :
Sans parler du couteau, du pantalon , du plan des lieux, du témoignage Martinez, qui sont carrément accusateurs et pour le moins incompréhensibles au cas où Ranucci serait innocent.
Hélas pour l'accusation, le couteau ben pas d'enquête et des conditions de découvertes très troublantes.
Pour le pantalon c'est pareil : quid du rajout, quid de ce que dit Mme Mathon, quid des aveux qui ne parlent pas du fait qu'il se soit changé.
Enfin bon les deux seuls éléments matériels sont entachés de drôles de choses.
Le plan de slieux n'aurait de valeur que s'il apportait des éléments inconnus des enquêteurs. Ce n'est pas le cas.
Le témoignage Martinez n'est en rien accusateur puisque Martinez n'a vu que l'accident, et pour la gamine, il a vu une forme qui partait à l'arrière, donc rien.
Et dans la version que je propose, il ne pouvait pas voir la simca, puisqu'elle était dans le chemin de la Doria.