Bien sûr que Mme Rahou est probablement une brave femme, mais vous avez écrit: Vous parlez de la galerie et vous dites qu'il aurait dit à Mme Rahou, qu'il était "bloqué là", donc dans la galerie, depuis 11h.
D'après l'article de journal, Mme Rahou, parle de l'accident, "sur la route en bas", pas de la galerie.

Faut-il connaître des partisans de la version officielle pour connaitre la version officielle?
Il n y a qu'une version officielle, c'est la version officielle. Je commence à apprendre beaucoup de Arlaten
Je ne connais aucune version Perrault. Perrault a seulement donné des suggestions alternatives pour la version officielle et c'est comme ça, que la procédure soit faite.
J'ignore également la version LM, mais je suis d'accord que, ce que j'en ai entendu ne donne pas trôp d'espoir. Je reste toutefois curieuse de connaitre son hypothèse à propos du couteau.

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« Si tu diffères de moi, frère, loin de me léser tu m'enrichis. »
Antoine de Saint-Exupéry

Mais s'il avait attendu le départ des Aubert et réussi à la faire taire pendant ce temps, il n'aurait plus raison de paniquer. Du sang, qui vient d'en bas vert le haut et qui atterrit seulement sur la braguette ? Il ne faut pas être expert pour voir la contradiction. Même si le meurtrier était à genoux, le sang serait atterri en éclaboussures partout sur la portion avant-haut du pantalon. Comme la boue sur la portion avant-bas...... C'est trop facile, car si vous ne donniez aucun mérite au suivant,
Le Buchec a écrit, vous auriez du moins difficulté d'expliquer, la tromperie de 3 témoins, Moussy, sa mère et son collègue à propos de 3). En effet on puisse dire, que ces trois ont menti de leur plein gré, sans mobile apparent.

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Antoine de Saint-Exupéry

Rose
Le problème c'est les coups de pierre - c'est arrivé comme ça - il était hors de lui – oui l'accident, - la fuite – le boucan – l'odeur – l'arrêt – putain oui elle est cassée – putain – une voiture – la c…. c'est de sa faute – (là il se saisi de la petite, la plaque contre lui, il crapahute sur le talus se jette à terre avec la fillette, prend une pierre et frappe......
Les coups de couteau... ça c'est une autre histoire.

Je pourrais vous suivre, si la fille s'était enfuie. Mais ce n'est pas dans la bonne direction qu'elle l'ait fait. Reste également, que la tache ne colle pas.

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Antoine de Saint-Exupéry

Elle ne s'est pas enfuit, elle était portée, plaquée contre son ravisseur, il s'est couché sur elle après la courte mais intense escalade et a frappé aussitôt à coups de pierre.
Les longues griffures sons à l'arrière des jambes, la petite était dans les bras dos à la progression, le bas des jambes plus ou moins pendant. C'est une branche un peu plus rigide qui a occasionné ces blessures.
Rose J'attends, comme vous, avec impatience, l'avis du médecin légiste contacté par Michel mais il se pourrait que la tâche soit facilement explicable.

Vous n'avez pas répondu ou plutôt occulté de répondre à ces questions.
quel est votre avis sur chacun d'eux ?
où était assise la petite au moment de l'accident au carrefour ?
Pourquoi ni M Martinez ni Mlle Bonafos ni les Aubert (en particulier M Aubert dont vous ne semblez même pas connaitre sa déclaration du 6 juin) n'ont aperçu un autre passager dans la 304 ?
Voilà des questions auxquelles il faut nécessairement répondre.

Si, j'ai souvent répondu à cette question mais je ne vais pas vous infliger une recherche dans mes 'contributions'.
D'abord je ne crois pas à la balade printanière. Nous avons un trou dans l'emploi du temps d'une demi-heure (11h20) à1 heure (10h50), la petite était certainement sous contrôle. Contrôle par la terreur, la pression, elle pouvait être sous la planche de bord avant droite sous la menace du couteau par exemple, (le cafouillage au carrefour).
Contrôle chimique; pourquoi pas avec la seringue usagée trouvée dans la voiture, elle pouvait être sur la banquette arrière (la forme vue par Martinez).

Ah oui une précision, je n'occulte rien, moi, c'est pas le genre de la maison...

ah oui la forme de M Martinez !!! mort de rire !
et évidemment vous y croyez.... il faudra attendre le 10 juin pour qu'il déclare cela devant la juge alors que devant les policiers, il n'a même parlé de forme !
Une forme !! et pour vous une forme c'est forcément un enfant, surtout pas un sac par exemple...
non non il faut absolument que ce soit la petite fille sinon toute l'accusation s'écroule forcément.

Là encore ça ne colle pas du tout avec le témoignage de Mme Aubert qui n'a pas vu un enfant inquiet, ni terrorisé par la peur et encore moins sous anesthésie ou contrôle chimique comme vous dites ; non non rien de tout ça puisqu'elle a parlé calmement à son ravisseur.
De plus, le rapport d'autopsie ne signale aucune présence d'une quelconque toxicité.

Ho, le vilain procédé éculé)..... Le dossier est pourri, il n'y a rien de bon;;;;, sauf........, sauf quand ça arrange...... Par cohérence il faudrait choisir, faire preuve d'honnêteté en somme.......
La forme j'en sais rien, même si elle est du 10, elle est dans le dossier...
La seringue aussi et bizarrement elle n'intéresse personne, ni la boite de médicaments trouvée dans le placard.... Elle a été piquée sans raison particulière à l'armée... On doit se contenter de ça. Le comble, pas un mot de la seringue utilisée, usagée, les termes varient..... Nous savons par Peyro que ranucci était passionné de chimie, peut-être voulait-il faire tout simplement une expérience?
La petite n'a pas été vue dans la voiture mais en descendre...., croyez-le bien; pas d'elle même, elle a été arrachée de la voiture et portée plaquée à son ravisseur.....

Plaquée contre Ranucci comme un paquet, mais elle a parlé de façon cohérente selon le témoin "crédible" . Autre question;pourquoi Ranucci se serait débarrassé de l'aiguille et pas du syringe ? Autre chose, de ma connaissance, il n'y avait rien dans la boite pour assommer la petite. je vais vérifier.

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Les Aubert ont vu un homme s'enfuir dans les fourrés.
Qu'il ait un paquet, un sac Adidas ou un colis de drogue importe peu.
Que ce paquet parle ou pas importe peu.
Cet homme grimpe un "sentier" juste au-dessus d'une voiture arrêtée.
Cette voiture est une 304, propriété de Ranucci.
Quand un Aubert regarde dans la 304, celle-ci est vide.
A 22 m de la 304, on retrouvera le cadavre de Marie-Dolorès.
L'intervention d'un homme au POR n'étant qu'une construction intellectuelle facilement démontable, la conclusion est aisée:
Il y a de fortes présomptions pour que ce soit o-bli-ga-toi-re-ment Ranucci le coupable.
Rappelez-vous. C'est Ranucci lui-même qui le dit: "c'est o-bli-ga-toi-re-ment moi !"
Il est vrai qu'après avoir subi les tortures vietcong et l'acide sur le sexe, il lui était difficile de dire autre chose.
Des preuves dans un sens ou dans l’autre, je suis comme vous, je n’en n’ai pas

J'ai l'impression qu'on perd notre temps
On a affaire des gens qui sont à fond dans le système et qui se contentent de refourguer la thèse officielle à tout prix en rajoutant même plusieurs couches insipides voire grossières.
C'est absolument terrifiant !

je le crois aussi. vous plaisantez ?
cet homme, pour vous , c'est bien Ranucci ?
alors s'il s'est enfui avec un paquet, ça change tout non ?
Cette phrase est tirée du PV 610-1 du capitaine Gras, gendarme de son état. Or, M Aubert lui-même, a toujours affirmé n'avoir jamais répondu à personne d'autre qu'aux policiers marseillais.
Il ne donne pas ce détail aux policiers ni à la juge.
Alors comment fait on ? M Aubert est un menteur ?
je crois à l'implication d'un autre homme que Christian Ranucci. Ce qui est contestable, c'est le scénario d'un homme qui monte ou descend de ou jusqu'à la champignonnière car selon moi, c'est trop risqué.