Citation :
quand ils ont divorcé, le pêre avait un droit de visite.
Ensuite, il y a l'agression de Jean Ranucci contre Héloïse Mathon.
Moi je comprends parfaitement la crainte et l'angoisse de Mme Mathon face à un homme capable des pires violences, d'où ses multiples fuites.
Maintenant, est ce que le pêre a fait une action auprês d'un juge aux affaires familiales pour faire valoir ses droits en tant que pêre ?
Je ne crois pas. Alors, s'il n'a pas vu son fils, il n'a qu'à s'en prendre à lui-même.
Je pense qu'il y avait un réel désintérêt de sa part.
Au départ, il aurait essayé de le retrouver. Le désintérêt est né de l'impossibilité de retrouver son fils. La preuve : il parlait de l'emmener en Algérie et sa mêre craignait un enlêvement. Un pêre qui n'en a rien à foutre de son fils ne menace pas d'aller s'installer avec lui dans un pays étranger.
Faire valoir ses droits, c'est presque mission impossible quand la mêre fait barrage. Il y a assez d'affaires qui le montrent. On ne va pas mettre la mêre en prison, quand même. Je ne crois pas que ce soit bénéfique pour l'enfant. Le fait qu'il ait baissé les bras est peut-être une bonne chose dans le contexte. Un recours aux forces de l'ordre n'aurait rien apporté de positif. La mêre a décidé que son fils n'aurait plus de pêre, et c'est ce qui est arrivé.