Je ne sais pas si c'est vrai, mais c'est ce que M.Bouladou a écrit ici...

On ne peut pas s'imposer lors des recherches de gendarmeies... à moins qu'on ne soit chez soi

J'en ai envoyé une, sur la page antérieure.

Et pourtant il le fait tout le temps. On le retrouve partout. Je crois qu'il a du avoir quelques étincelles avec le cap. Gras.

Cette histoire du rapprochement n'est vraiment pas claire. J'aimerais bien savoir s'il a réellement fait le rapprochement où les deux histoires se sont collisionées à la gendarmerie.

je vais déplacer ma question sur le fil champignonière. Ça m'intrigue quand même un peu.

Quant à la présence de Guazzone sur le Lieu du crime, je crois qu'il a suivi le travail du maître-chien. C'était le plus intéressant à voir.

La bonne franquette en somme.... dans une affaire aussi grave ?

Sur la photo que j'avais ratée (ça beug un peu ce soir) on le voit déambuler comme un passant...

Puisqu'on parle de chien, il y a autre chose qui me tracasse. Quand le cap. Gras déploie les effectifs pour la battue, s'il a au moins un chien à sa disposition, pourquoi ne le fait-il pas longer le fossé depuis la pomme pour essayer de prendre une piste à la volée? C'est pourtant le procédé habituel.
Le chien serait-il arrivé plus tard? Il n'y en avait qu'un seul et le cap. Gras a préféré le mettre à la champignonière?
Je crois avoir vu une liste des effectifs qu'avait le capitaine, mais je ne suis pas sûr, au sujet du ou des chiens.

On peut spéculer un peu là-dessus. Dans le cas où il n'y avait qu'un chien, le maître-chien a pu émettre des doutes sur la possibilité de prendre une piste à la volée après 48 heures et aurait demandé un point de départ concret. Le cap. Gras l'aurait donc placé dans la galerie à voir ce qui en résulterait.

comme on venait de trouver un pull (rouge, d'ailleurs !!) on a pu le mettre en piste à partir de ce fameux pull !!

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http://www.presume-coupable.com

Malheureusement, ce n'est pas écrit dans le rapport du maitre-chien.

Je voudrais bien le lire ce rapport !

Sur ce rapport, doit figurer obligatoirement ce avec quoi on a mis le chien en piste.

On ne l'a pas laissé partir comme cela des abords de la champignonnière, en lui disant : "allez mon toutou, trouve la petite fille !" sans lui avoir donné auparavant qqch à renifler.

Alors c'est quoi qu'on lui a donné à sentir, à ce brave toutou !!!

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Si ça peut se faire, c'est par exemple comme ça qu'on peut trouver la piste d'un excursioniste perdu. Ça s'appelle prendre la piste à la volée, ce qui est différent de "chien mis en piste" qui apparait écrit dans le PV.
Le procédé logique aurait été de chercher une piste à la volée dans le fossé pas dans la champignonière.
Partir de la champignonière signifie être mis en piste donc à partir d'un point de départ.
Le seul élément qui puisse être présenté au chien c'est le pull. Ça me parait tellement évident que je ne comprends pas les arguments de G. Bouladou.
Suivre un gendarme? C'est ridicule, d'abord parce que personne n'a palpé ce pull suffisament pour masquer l'odeur du porteur, ensuite parce que le maitre-chien ne laisserait jamais un gendarme marcher devant lui. Les effectifs qui fouillent le bord de la route se sont déployés depuis La Pomme. Ceux qui ont remontés la route depuis la champignonière sont arrivés en véhicule (le chef?) ou à pied derrière le chien.