Citation :
[...]
Ben ... justement ... je ne pense pas que la preuve ait été apportée dans ce sens, au contraire.
Et tu n’es pas le seul.
Tu ne sais peut-être pas que quelques personnes du forum (une dizaine), ont couché sur le papier un certain nombre d’idée, en vue d’alimenter la rédaction d’une éventuelle nouvelle requête. Quand Jpasc95 parle d’une visite à JF Leforsonney en février, c’était justement pour discuter de ce document.
En ce qui concerne l’arrêt de la 304 le jour de la reconstitution, le groupe a décidé (je lis sur le document) :
Nous en déduisons que la reconstitution de la fuite dans la colline n’a pas été faite au point kilométrique 26,070, mais à la borne kilométrique 26, c’est à dire 70 mètres plus loin, en direction de Marseille.
Maintenant, Jpasc95 nous dit qu’il a senti nettement le scepticisme de l’avocat. Rien d’étonnant à ce qu’il ressente cela, puisque lui, Jpasc, n’est pas en accord avec le groupe (au moins sur ce point là).
Venant de l’avocat, on peut s’attendre à autre chose que du scepticisme, parce que le jour de la reconstitution, il y était. Il devrait donc être affirmatif et non pas seulement sceptique. On peut cependant comprendre sa géne, si les éléments que l'on apporte, montrent que la défense de Ranucci a été menée de façon aussi légère.
Ce donc je suis sûr, c’est que lors de la réunion à Paris du 27 Octobre, Gilles Perrault, Georges Muratet, mais aussi, Jean François Le Forsonney, ont bien vu la borne sous la portière de la 304.
Pas de doute, le jour de la reconstitution, la 304 n’a jamais été placée à l’aplomb du lieu du crime. Du moins, les photos donc nous disposons à ce jour ne nous le montre pas.
Jpasc95 a voulu faire croire qu’il y avait ressemblance entre les racines de l’aplomb et celles que l’on voit derrière la 304. J’ai « démonté » point par point sa démonstration. Je l’ai démonté de façon inattaquable puisque toujours inattaquée aujourd’hui.
Je l’ai fait là :
sutra80127.html&highlight=triangle#80127
Le montage est juste au dessus. Le voilà :
sutra80101.html&highlight=endroit#80101
Il a du revenir sur sa position, puisque maintenant, il ne dit plus que la voiture était exactement à l’aplomb (ce qui aurait été le cas si les racines avaient été identiques), mais seulement
à proximité de l'aplomb du Lieu du crime.
Dans les fils qu’il t’invite a
Regardez bien attentivement, et dans lesquels tu as laissé moult messages, il a trouvé une ressemblance a propos de l’arbre que l’on voit devant la 304.
Ton message :
sutra80040.html&highlight=virage+droite#80040
Tu lui as demandé :
Quelle distance y a t'il entre l'arbre marqué d'une croix (la plus à droite sur les photos) et la 304 ? (sur la photo du bas)
Il t’a répondu :
1/ peut-être 15 ou 20 m
C’est sur la photo du haut, celle où on voit la voiture, (et non pas celle où on ne voit pas la voiture) qu’il faut évaluer la distance entre l’arbre et la voiture. On voit bien qu’il n’y a pas 15 ou 20 m, mais seulement quelques mètres.
Si pour la reconstitution, la voiture a été placée prés de cet arbre, elle était à 20 ou 25 mètres de l'aplomb. Ce qui par rapport à la position de l'empreinte, anéanti le témoignage des Aubert. Mais là, je prêche à un convaincu.
Citation :
Pourquoi voulez vous que l'accusation ce 24 juin ait placé la voiture à env 70 mètres de cet aplomb ?
J’ai déjà apporté une réponse simple et logique. Cela me semble assez facile à comprendre Personne ne m’a contredit.
Citation :
Toutes nos chères autorités consitutuées ont été particulièremernt médiocres dans cette affaire mais ils ne sont pas débiles à ce point là.
Jugement de valeur inopportun puisque lié à la non compréhension d’une situation finalement pas anormale.
Citation :
Etant donné que l'on a retrouvé le corps de la petite malheureuse sur cette rn8bis sur laquelle sont passées au minimum C Ranucci et les Aubert, on peut retenir l'hypothèse de l'arrêt de la 304 à proximité du Lieu du crime, ce qui constitue une pure coïncidence.
Pas du tout.
Ranucci et les Aubert ont pu passé sur la nationale dans un créneau horaire où le corps n’était pas là.
Ranucci a pu s’arrêter n’importe où entre le croisement et la proximité du chemin de la champignonnière.
Citation :
Pour ma part, je ne crois pas que C Ranucci se soit enfui en voyant arriver les Aubert car il en aurait également parlé à ses avocats. Pourquoi cacher cela ?
Je rappelle qu'il a, à trois reprises, indiqué qu'il ne s'était jamais senti poursuivi (déclaration à la gendarmerie de Nice le 5 juin, le 6 à l'Evêché à 1h30 et dans les aveux).
Et c’est sûrement vrai, parce que dans sa fuite, s’il avait vu qu’il était poursuivi, il ne se serait probablement pas arrêté.
Citation :
Pour moi, C Ranucci n'a jamais su que des témoins (les Aubert) l'avaient rattrapé et avaient noté son n° d'immatriculation.
Aurait il pu oublier qu'ils l'avaient interpellé à propos de l'accident ?
Mais il ne l’a pas oublié et il a rapporté aux psychiatres la conversation qu’il a eu avec le « type », et les propos qu’il aurait tenu correspondent exactement avec la déclaration de A. Aubert.
Cela règle le problème de l’évanouissement au bord de la route.