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Vous voulez dire que pour la première voiture, seule la roue arrière d’un côté aurait laissé une trace et que pour la deuxième voiture ce serait la roue arrière du côté opposé qui l’aurait fait. Non, cela devient du cirque, ou de la prestidigitation, voire du paranormal. Impossible.
Impossible?
Impossible qu'une (première) voiture puisse aller faire une trace à 26m et qu'une (seconde) autre voiture en fasse une à 9m?
Et par quel phénomène physique ?
Le cas que vous évoquez là, n’a rien à voir avec celui que vous évoquiez précédemment et auquel j’ai fait réponse.
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Les deux traces ne sont pas à la même hauteur
Vous voulez dire les moulages ?
A la place de quel mot? Si vous voulez dire "moulage fait depuis les traces" je réponds c'est la même chose.
Vous parlez de hauteur, donc d’un positionnement plus ou moins loin dans la galerie. Les deux traces (droite et gauche) « occupent » toute la longueur de la galerie. Elles ne sont donc pas à une hauteur spécifique.
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Place aux doutes, quels doutes ? de quoi était-il possible de douter ?
De la paternité des traces laissées dans la champignonnière, de quoi voulez-vous douter ?
Avec la photo on peut dire si oui ou non le type de pneu correspond mais avec un moulage on peut avoir une idée sur l'usure, un défaut spécifique....
Photos ou moulages qui ne permettent pas d’identifier un véhicule. Il faut avoir trouver le véhicule pour pouvoir exploiter les photos et moulages et faire des comparaisons.
Dans l’affaire qui nous intéresse, les photos et moulages n’apportent rien quant à l’identification du véhicule.
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Avec les numéros de la plaque d’immatriculation, avec le « carton » qu’il y a sur la portière gauche et l’aile arrière gauche, avec les témoignages de Gazzone et Rahou, les gendarmes et policiers n’avaient pas besoins du type de pneus pour avoir la certitude que bla bla bla………………
A vous écouter, il serait impossible de confondre un véhicule si on ne dispose pas de l’empreinte des ses pneumatiques
On a pas la même notion d'enquête c'est tout.
Peut-être mais la mienne est plus conforme à la réalité des choses.
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Vous n’avez pas l’avis de tous les gendarmes, ayant participé à l’affaire. Ce que vous dites est donc inexact.
Relisez moi je ne parle pas de TOUS les gendarmes seulement de ceux qui se sont trompés sur la culpabilité.
Donc ce que je dis est exact
Relisez-vous :
Citation :
« Ah si, c'est tout à fait exact, les gendarmes se sont trompés sur la culpabilité de C. Ranucci. »
Où voyez-vous la restriction qui permet de n’impliquer que « certains » gendarmes ?
Tel que vous l’avez écris, nous pouvons lire que vous citez TOUS les gendarmes.
Citation :
Est-il impossible qu’il y ai une erreur sur la mesure ou sur la transmission de l’information ?
Non c'est pas impossible mais pourquoi faudrait-il une erreur?
Pourquoi considérer la mesure comme authentique si la possibilité qu’elle ne le soit pas existe ?
Citation :
Pourquoi ça ne serait pas la bonne dimension ?
Là aussi, de multiples raisons que vous n’avez même pas imaginées et vous oubliez aussi l'erreur possible dans la transmission de l'information.
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Ranucci avait un coupé 304. Vous utilisez les données techniques de ce modèle de voiture, mais que savez-vous des données techniques de la 304 de Ranucci ?
J'en sais pas plus que les gendarmes de l'époque.
Visiblement vous maîtrisez mal le sujet.
Les gendarmes n’ont pas eu la 304 de Ranucci à leur disposition. Les policiers marseillais si.
Citation :
Aucune mesure n'a été faite sur les voies extérieures de la Peugeot 304 donc le gendarmes ne peuvent pas affirmer que c'est la Peugeot 304 de C. Ranucci qui a laissé les traces à 32m2.
Mais ils n’ont pas besoin de cela pour pouvoir l’affirmer.
A partir du moment où ils savent que les photos et moulages correspondent bien à la 304 de Ranucci, eux qui savent que les traces trouvées à 32m sont les mêmes que celles qui ont été photographier et moulées, peuvent dire que ces traces là (celles à 32m) sont bien celles de la 304 de Ranucci.
Dire que les traces à 32m ne sont pas celles de la 304 de Ranucci, c’est dire que les gendarmes ont trouvé des traces différentes et qu’ils ont décidé de ne pas les photographier et mouler. Cela n’a aucun sens.
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Vous vous trompez. L’inspecteur Lagrave, qui n’est pas gendarme mais policier, celui qui a fait l’expertise à l’Evéché ne le dit pas.
Ce policier a fait correctement son travail, puisqu’il a corrigé une erreur faite par la gendarmerie. Le scellé N°6 concerne la roue arrière gauche et non pas avant gauche, comme nous pouvons le lire sur les documents de gendarmerie. Lui, avait ce qu’il fallait pour la corriger.
etat des lieux 7 Août 1974 examen des pneus :
....
Les deux moulages ne font apparaitre aucun défaut caractéristique (coupure, arrachement...) permettant d'individualiser les pneumatiques ayant provoqué les traces qui ont fait l'objet de ces moulages.
Oui, et alors……………….
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Du côté de la champignonnière
C'est archi-faux, les traces à mouler sont DANS la champignonnière.
Quand je dis que vous maîtrisez mal le sujet.
Les traces à mouler sont dans la galerie qui mène à la champignonnière.
Pour accéder à la champignonnière proprement dite, il faut s’enfoncer dans la galerie au-delà des 32m et prendre une porte sur la droite.
Donc lorsque je dis que les traces à mouler sont du côté de la champignonnière ce n’est pas archi-faux. Ce n’est même pas faux.
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Non, cela je suis sûr que ce n’est pas possible. Et vous aussi.
Oui je suis sûr que les moulages ont été effectués le 5 Juin, car le 5 Juin est le seul jour où les gendarmes vont dans la champingonnière.
Il est impossible aux gendarmes de faire les moulages sans entrer dans la champignonnière.
Aucun document ne vient étayer votre certitude. Pas plus pour les moulages faits le 5 que l’absence de gendarmes dans la galerie le 6.