Citation :
Au ton insultant et méprisant auquel tu reviens invariablement quand tu es à cours d'argument, je dirais plutôt que c'est toi qui t'énerves.
Il est clair que tu ne supportes pas d'avoir fait fausse route et que j'aie cent fois démontré l'impossibilité de ton hypothèse incohérente et contradictoire.
IL y a un truc que je ne supporte plus chez toi, c'est ton extrême arrogance qui consiste à nous rabacher depuis des mois et des mois que toi tu as tout compris et que ceux qui ne pensent pas comme toi sont des cons.
IL faut vraiment que tu comprennes que ça devient insupportable.
Citation :
Pour résumer une nouvelle fois ce fiasco mental : en somme tu nous dis que les Aubert auraient vu une scène furtive, sans gravité, d'un type s'enfuyant avec un enfant.
Et là tu nous sors une première énormité : de retour au carrefour, les Aubert donnent le numéro, point à la ligne.
toi qui prends le PV de M Martinez comme la référence absolue de l'affaire, tu devrais le lire objectivement sans devenir fou. Il y a cette phrase : "
Il a immédiatement pris la direction de Marseille et il est revenu 5 minutes après environ en me donnant le numéro du véhicule 204 Peugeot n° 1369 SG 06 qu'il avait vu arrêtée à un kilometre environ
du carrefour."
Voilà, c'est clair et limpide. Je n'ai rien inventé, il faut donc bien faire avec.
Citation :
Le fuyard et l'enfant se sont volatilisés et Martinez, en toute bonne logique qui est la tienne, ne pense même pas à demander ce qu'est devenu l'individu en question.
Quand les Aubert reviennent au carrefour, M Martinez leur demande s'ils ont pu rattraper le fuyard et relever le numéro d'immatriculation. Ils lui donnent ce numéro, lui font comprendre qu'ils sont pressés et s'en vont.
M Martinez n'insiste pas, il a eu ce qu'il voulait.
Citation :
Et voilà que le lendemain, en entendant les nouvelles, les Aubert seraient pris d'une telle crainte d'être accusés de non assistance qu'ils transforment l'enfant en paquet, alors que ce qu'ils auraient vu était furtif et sans gravité, qu'ils étaient seuls témoins sur la RN8bis et que cette transformation est totalement inutile puisqu'il suffisait juste de dire que ce qu'ils ont vu était furtif et sans gravité pour se mettre hors d'accusation.
Entre paranthèse, pourquoi ne pas faire le même raisonnement avec Spinelli.
Après tout, il est censé avoir assisté seul à l'enlèvement et personne ne sait exactement ce qu'il a vu.
Donc on pourrait tout aussi bien supposer que la police avait le moyen de le forcer à changer son témoignage en faisant planer sur lui la même menace supposée que sur les Aubert.
Tel n'a pas été le cas pour lui et il n'y a aucune raison qu'il en ait été ainsi pour les Aubert.
non tu compares deux situations différentes.
M Spinelli était dans une situation totalement banale, il voit une voiture stationnée le long d'un trottoir, un homme et une fillette monter à bord d'une simca 1100. RAS !
Pour les Aubert, ils voient plus ou moins un homme prendre la fuite à un carrefour, ils le prennent en chasse et le voient arrêter env 1 km plus loin. Cette situation est nettement moins banale que celle vue par M Spinelli surtout s'ils l'ont vu s'enfuir avec un gosse dans un endroit peu propice à la ballade.
Citation :
Malheureusement le grotesque ne s'arrête pas là puisque tu remets ça le 6 juin.
En effet, les Aubert qui auraient transformé l'enfant en paquet le 4 juin, feraient purement et simplement la transformation inverse le 6 juin, avouant du même coup n'avoir rien fait pour l'enfant (ce qui était censé être leur crainte selon toi) et avoir menti le 4 juin au téléphone.
Désolé, c'est complètement incohérent et contradictoire.
Le problème est que tu fais raisonner les humains comme des robots cad programmés pour réagir toujours de la même manière, de manière cartésienne, sans faille, la perfection irréprochable.
tu te fous le doigt dans l'oeil. Pour se préserver, les gens sont capables de gros mensonges. Selon moi, c'est ce qui s'est passé avec les Aubert.
A l'Evêché, tout bascule. Tu n'arrives toujours pas à comprendre que le témoignage des Aubert est capital pour l'accusation qui est au bord de la faillite.
Est ce que les Aubert ont évoqué avec les policiers leur témoignage du 4 et du 5 juin à la gendarmerie parlant d'un paquet assez volumineux ?
si c'est le cas, les policiers s'en moquent. Ils tiennent à coup sûr le coupable et ne vont pas renoncer à cette piste. On évacue le paquet comme on a évacué le POR.
Ils font comprendre aux Aubert qu'ils ne risquent rien, surtout s'ils coopèrent avec eux. Tu vois ce que je veux dire ? une sorte de compromis, un échange de bons procédés entre gens civilisés.
Ainsi, les Aubert n'ont rien à craindre, ils sont entre de bonnes mains et en plus seront des héros puisqu'ils auront contribué à arrêter le salaud qui a tué la petite fille.
Bah, ça vaut bien quelques écarts non ?
Est ce que tu comprends ça ou pas ?