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Message non luPosté :17 sept. 2011, 18:34 
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En tout cas , pour le moment je constate, que pour avoir accès au parking collectif il n'y a pas besoin de clef : on y rentre comme on veut. Pas de portail quelconque si c'est encore vrai aujourd'hui, ça devait l'être aussi en 1974.

Donc quel garage Mme Mathon pouvait bien ouvrir avec les clés qu'elle disait prendre ?


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Message non luPosté :17 sept. 2011, 20:10 
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ah bon ? c'est votre interprétation.
les clés, ça peut être celles qui permettent d'accéder au garage collectif et les clés de la voiture.
De plus, vous omettez d'expliquer comment les policiers marseillais auraient pu voir le pantalon dans le box individuel quand ils viennent chercher la 304 dans le garage collectif.
J'ai du mal, à croire, un seul instant, que les policiers se sont contentés de "perquisitionner" seulement et uniquement le garage collectif le soir du 5 juin en compagnie de ranucci .
Il faut donc croire que ces policiers se sont dirigés tout droit dans ce garage un point c'est tout , ils ne se seront donc pas dirigés vers l'immeuble où Ranucci résidait, (un immeuble, où il y avait quand même 6 à 8 garages individuels!) pour perquisitionner aussi l'appartement ; Ranucci avait sur lui son trousseau de clés où il y avait quatre clés , une pour la voiture, une pour l'appartement, les deux autres : mystère .

Il est impossible de ne pas voir ces garages, si on rentre dans l'immeuble.
les 4 clés, ça peut être celles de la voiture (une pour le moteur, une pour les portières, une pour le coffre ? et celles de la maison (1 voire deux s'il y a un verrou en plus).

J'insiste mais il n'est pas toujours pas acquis de manière indiscutable que Mme Mathon disposait d'un box individuel en plus d'une place dans garage collectif.
Cyril a posé la question à ce propos :
"Est-ce que chaque résident de l'immeuble avait son garage et sa place de parking à lui, numérotée, ou chacun pouvait se garer à n'importe quelle place?
Réponse : Chacun avait sa place, numérotée.
la place numérotée, c'etait quoi, le garage collectif ? aujourd'hui, peut-on voir ces numéros ?
si c'est le cas, les policiers ont pu saisir la 304 facilement du fait que C Ranucci leur a donné le numéro de sa place. Dans le PV du 5 juin à 22h30, il est précisé que la voiture est stationnée dans le garage collectif. Et on le voit bien sur la photo que j'ai publiée.


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Message non luPosté :17 sept. 2011, 20:25 
Citation :
En tout cas , pour le moment je constate, que pour avoir accès au parking collectif il n'y a pas besoin de clef : on y rentre comme on veut. Pas de portail quelconque si c'est encore vrai aujourd'hui, ça devait l'être aussi en 1974.

Donc quel garage Mme Mathon pouvait bien ouvrir avec les clés qu'elle disait prendre ?

pour le parking des Floralies, oui, mais pour l'autre parking souterrain où C Ranucci garait sa voiture, on ne peut rien affirmer.
En 1974, je vivais dans une cité HLM, il y avait un parking souterrain collectif et pour y accéder, il fallait une clé.


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Message non luPosté :17 sept. 2011, 20:53 
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Bruno, l'objet de la commission rogatoire (4 juin) ne portait pas du tout sur la perquisition de l'appartement de Mme Mathon, cette perquisition a eu lieu le lendemain 6 juin dans la matinée effectuée par Gioffredo de Nice sur la comm. rogatoire de mlle Ilda du 6 juin.

Concernant les clés : il me semble qu'à cette période, pour une voiture, il y avait 2 clés (une pour le contact, l'autre pour verrouiller les portes y compris le coffre)
Une 3ème clé pour l'appartement, reste la 4ème ... servait-elle à l'ouverture d'un verrou de la porte de l'appartement, à l'accès de l'entrée de l'immeuble ? servait-elle à l'accès d'un box fermé ?

J'insiste lourdement c'est vrai :mrgreen: sur la non-intervention de Phillipine demeurant aux Floralies ne nous ayant jamais indiqué le fruit de ses recherches pourtant promises, c'est bien dommage cà sad:
Une des clés dans le coffre ne peut pas etre la clé de l 'appartement ,car c.ranucci l 'avait sur lui pour rentrer le 5 juin vers 18 heures .


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Message non luPosté :17 sept. 2011, 23:29 
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J'insiste mais il n'est pas toujours pas acquis de manière indiscutable que Mme Mathon disposait d'un box individuel en plus d'une place dans garage collectif.
.
Tu as cité pourtant ce PV plus haut, le PV n° 4430
"poursuivant l'exécution de ladite commision rogatoire constatons que dame Mathon nous conduit dans un box sis dans l'immeuble et où se trouve garé le véhicule 1369.SG 06" .

Le bâtiment les Floralies possède 7 box ça tombe bien : ranucci y habite ; de plus sa mère est propriétaire d'un appartement de ce dit bâtiment...


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Message non luPosté :17 sept. 2011, 23:30 
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Citation :
Une des clés dans le coffre ne peut pas etre la clé de l 'appartement ,car c.ranucci l 'avait sur lui pour rentrer le 5 juin vers 18 heures .


Judicieuse remarque Marin !

Il est encore possible aussi, du fait que Mme Mathon était constamment au domicile pour rendre les minots aux parents, que cette dernière ouvrait la porte à son fils, ce que je ne crois pas perso.

Comme aucune des clés de ce trousseau n'a été vérifiée sur PV en les présentant chacune à leur usage, que pouvons-nous en conclure ?

Soit il s'agit d'un trousseau en doublon et CR dispose de sa clé d'apparte à part ...
Soit il s'agit d'un trousseau qui n'a rien à voir avec toutes les différentes serrures de la résidence ...
Soit c'est un melting-pot ...
Il ne semble pas possible qu'il ait eu des clés de l'entreprise qui l'employait.
Clés d'apparte chez une maitresse ?
Clés de la Générale de Nice ? (bon je plaisante) Albert s'y est pris autrement :mrgreen:
Comme d'hab avec le reste du dossier, on est dans le fog sad:

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Message non luPosté :17 sept. 2011, 23:36 
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Bruno, l'objet de la commission rogatoire (4 juin) ne portait pas du tout sur la perquisition de l'appartement de Mme Mathon, cette perquisition a eu lieu le lendemain 6 juin dans la matinée effectuée par Gioffredo de Nice sur la comm. rogatoire de mlle Ilda du 6 juin.

Concernant les clés : il me semble qu'à cette période, pour une voiture, il y avait 2 clés (une pour le contact, l'autre pour verrouiller les portes y compris le coffre)
Une 3ème clé pour l'appartement, reste la 4ème ... servait-elle à l'ouverture d'un verrou de la porte de l'appartement, à l'accès de l'entrée de l'immeuble ? servait-elle à l'accès d'un box fermé ?

J'insiste lourdement c'est vrai :mrgreen: sur la non-intervention de Phillipine demeurant aux Floralies ne nous ayant jamais indiqué le fruit de ses recherches pourtant promises, c'est bien dommage cà sad:
Un peu de sérieux Anne pour ce genre d'affaire ; au diable la commission rogatoire, au diable le permis de perquisition ; ils ne vont pas laisser des pièces à conviction disparaître.


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Message non luPosté :17 sept. 2011, 23:49 
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Ben justement Bruno, lors de la perquise du 6 au matin chez Mme Mathon, le froc gris porté tout le week, le blazer marine et la chemisette qui séchait sur l'étendoir, ont été saisis ce matin là.

Faut croire que la police niçoise est plus apte dans ses fonctions que ...

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Message non luPosté :17 sept. 2011, 23:56 
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Citation :
contrairement à vous, moi je veux de la rigueur et pas uniquement des affirmations. Ca ne suffira pas pour convaincre les vieux schnocks de la cour de cassation.
Ce ne sont pas des "vieux schnocks" comme vous le dites, ce qui pourrait s'apparenter à une injure, ce sont des juges bien plus redoutables que vous ne semblez le penser. De toutes façons ce n'est pas eux qu'il faut convaincre c'est à l'étage au-dessus que cela se passerait dans ce cas.

Quant à la rigueur, on la trouve en examinant l'ensemble des éléments sans a priori. Et en essayant de comprendre comment ils s'emboîtent les uns dans les autres.

Je ne vois pas en quoi la requête en révision présentée par M. Massé n'est pas rigoureuse :

http://yannickmasse.free.fr/Requete_Dan ... n-2009.pdf

Elle est même tellement rigoureuse que la cour de cassation ne sait même plus quoi répondre et elle tente de s'en sortir en trois lignes :

http://www.presume-coupable.com/news.php?readmore=56

Et devant la cedh cela donne ceci :

http://www.presume-coupable.com/news.php?readmore=57

Citation :
ah bon ? c'est votre interprétation.
les clés, ça peut être celles qui permettent d'accéder au garage collectif et les clés de la voiture.
De plus, vous omettez d'expliquer comment les policiers marseillais auraient pu voir le pantalon dans le box individuel quand ils viennent chercher la 304 dans le garage collectif.
Là, permettez moi de vous dire que ce sont des supputations. Je ne prétends pas tout expliquer, je pose une trame qui me semble correspondre à un ensemble de faits qui n'ont apparemment aucune explication tant ils sont inhabituels et absurdes. Ensuite, on peut toujours me contredire, mais effectivement avec une réflexion.

Pour l'instant vous me dites : je vous contre parce que la réflexion n'a pas été au bout. Bruno a posé la question clairement et simplement : pour lui il y a d'une part les boxes fermés et Mme Mathon en possédait un et d'autre part un garage collectif. Vous me dites je n'explique pas tout. Heureusement. Mais personnellement, je n'en conclurais rien, je ne dirais pas : bon eh bien puisqu'il en est ainsi c'est que le pantalon était dans le coffre.
Je vais dire que je n'en sais rien, mais pour moi, il y a une chose qui apparaît clairement et totalement : tout ce qui se passe avec le pantalon n'est pas normal du tout. On ne fait pas rajouter des mentions sur un pv de saisie par un autre rédacteur que celui qui a établi le pv, qui plus est hors la vue de la personne qui est propriétaire des objets que l'on saisit. Cela ne se fait jamais.
Le sac d'embrouille avec la voiture qu'on restitue à Mme Mathon alors que la police scientifique n'a même pas rendu son verdict et que la reconstitution n'a pas eu lieu, cela ne se fait jamais. Restituer la voiture mais pas sa carte grise, cela ne se fait jamais (un policier sait qu'on ne conduit pas sans carte grise...). Aller chercher une voiture le 10 alors qu'elle est déjà saisie le 9, cela ne se fait jamais, etc.

Et cela ce sont des éléments du dossier que vous ne pouvez pas à mon sens escamoter. Ensuite, le détail des événements, je suis d'accord, on peut aller plus loin pour comprendre exactement le fil et le sens de chaque séquence. Mais je pense que là, nous sommes en train d'avancer.

Mais si les rédacteurs de la requête de M. Massé avaient décrété telle ou telle chose en disant : je suppose et je m'en tiens là, il n'y aurait jamais eu de requête ou bien la cour de cassation aurait su comment motiver son refus au cas où l'on serait parvenu à un résultat rafistolé.

_________________
L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.


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Message non luPosté :18 sept. 2011, 01:02 
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Ceci dit, je vous accorde une chose fondamentale. Visiblement, pour je ne sais quelle raison, la voiture se trouve dans le garage souterrain lorsque les policiers la saisisse, donc effectivement comment et pourquoi iraient-ils dans le box ? Je regarde les pièces et je n'ai aucune indication là-dessus.

Donc vous posez JPascal une question dont je reconnais toute l'importance.

Je vais réfléchir au problème comme je peux.

_________________
L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.


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Message non luPosté :18 sept. 2011, 08:10 
Citation :
Citation :
Citation :
Bruno, l'objet de la commission rogatoire (4 juin) ne portait pas du tout sur la perquisition de l'appartement de Mme Mathon, cette perquisition a eu lieu le lendemain 6 juin dans la matinée effectuée par Gioffredo de Nice sur la comm. rogatoire de mlle Ilda du 6 juin.

Concernant les clés : il me semble qu'à cette période, pour une voiture, il y avait 2 clés (une pour le contact, l'autre pour verrouiller les portes y compris le coffre)
Une 3ème clé pour l'appartement, reste la 4ème ... servait-elle à l'ouverture d'un verrou de la porte de l'appartement, à l'accès de l'entrée de l'immeuble ? servait-elle à l'accès d'un box fermé ?

J'insiste lourdement c'est vrai :mrgreen: sur la non-intervention de Phillipine demeurant aux Floralies ne nous ayant jamais indiqué le fruit de ses recherches pourtant promises, c'est bien dommage cà sad:
Un peu de sérieux Anne pour ce genre d'affaire ; au diable la commission rogatoire, au diable le permis de perquisition ; ils ne vont pas laisser des pièces à conviction disparaître.
C'est comme le pantalon qui trainait soi disant dans le garage collectif à côté de la voiture.
Pourquoi les policiers ne l'auraient ils pas pris avec la voiture ?
Ce pantalon était soit dans un box individuel avec le vélomoteur soit dans le coffre de sa voiture.


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Message non luPosté :18 sept. 2011, 08:18 
Citation :
Citation :
contrairement à vous, moi je veux de la rigueur et pas uniquement des affirmations. Ca ne suffira pas pour convaincre les vieux schnocks de la cour de cassation.
Ce ne sont pas des "vieux schnocks" comme vous le dites, ce qui pourrait s'apparenter à une injure, ce sont des juges bien plus redoutables que vous ne semblez le penser. De toutes façons ce n'est pas eux qu'il faut convaincre c'est à l'étage au-dessus que cela se passerait dans ce cas.

Quant à la rigueur, on la trouve en examinant l'ensemble des éléments sans a priori. Et en essayant de comprendre comment ils s'emboîtent les uns dans les autres.

Je ne vois pas en quoi la requête en révision présentée par M. Massé n'est pas rigoureuse :

http://yannickmasse.free.fr/Requete_Dan ... n-2009.pdf

Elle est même tellement rigoureuse que la cour de cassation ne sait même plus quoi répondre et elle tente de s'en sortir en trois lignes :

http://www.presume-coupable.com/news.php?readmore=56

Et devant la cedh cela donne ceci :

http://www.presume-coupable.com/news.php?readmore=57
je veux bien vous croire mais je n'ai porté aucun jugement sur ce que vous avez pu faire concernant l'affaire Massé que je ne connais pas.
Je parlais de l'affaire Ranucci. Je refuse de tomber dans la facilité. J'espère que nous pourrons un jour tenter une dernière requête en révision mais il faudra qu'elle soit en béton.
Il y a l'élément concernant le croquis qui est un calque d'un plan de cadastre. Il y a le rapport d'expertise biologique...


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Message non luPosté :18 sept. 2011, 08:37 
Citation :
Ceci dit, je vous accorde une chose fondamentale. Visiblement, pour je ne sais quelle raison, la voiture se trouve dans le garage souterrain lorsque les policiers la saisisse, donc effectivement comment et pourquoi iraient-ils dans le box ? Je regarde les pièces et je n'ai aucune indication là-dessus.

Donc vous posez JPascal une question dont je reconnais toute l'importance.

Je vais réfléchir au problème comme je peux.
je ne vois pas ce qu'il y a de bizarre dans le fait que la 304 se trouvait dans le garage collectif puisque Mme Mathon elle-même l'écrit dans ses Cahiers. C'est le 5 juin au soir.
"II me fut impossible de dormir, car, en revenant de la gendar­merie, j'étais allée au garage, voir l'état de la voiture. Celle-ci était assez défoncée sur toute la longueur, côté conducteur. Le choc avait dû être fort. De plus, le véhicule si propre et si bril­lant au départ, était plein de boue, même à l'intérieur, surtout à la place à droite du volant. Quel état !"

Idem C Ranucci dans son Récapitulatif à la date du 3 juin au soir :
"Malgré l'encombrement des routes par endroits, le trajet retour se fit au mieux. J'arrivai à la Corniche-Fleurie vers les 21 heures, mis la voiture au garage et rentrai chez moi."

Le 5 juin, il va à son travail avec la 304. Il l'a forcément mise au garage collectif puisque j'ai publié la photo la montrant à cet endroit. Photo prise le 5 au soir par le photographe de Nice Matin, Gilbert Castiès.


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Message non luPosté :18 sept. 2011, 18:20 
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Il faut reconnaître qu'il y a pas mal de taches plus ou moins brunâtres sur ce pantalon, ça ressemble vraiment à des taches de sang ; certaines doivent être plus anciennes que les autres, surtout les plus grandes, les plus petites paraissent plus récentes


Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.


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Message non luPosté :18 sept. 2011, 18:53 
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Effectivement, ce gros plan offre une vue pas glop du froc bleu, j'imagine vraiment mal CR portant ce pantalon un jour de Pentecôte, c'est pas dans ses cordes cà m???:

Bon, Bruno, t'as pas gratouillé la photo au moins :wink: :mrgreen:

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