Citation :
Je suis d'accord que le maitre-chien devrait être plus précis, dans le cas qu'il a donné un objet au chien à renifler, c'est après tout son boulot.
Exactement, Doornroosje : s'il a donné à sentir au chien le pull (ou n'importe quoi d'autre comme support), il avait le devoir de l'indiquer.
C'est bien pour cela que j'ai a priori du mal à croire qu'il a donné un indice au chien, sans le mentionner sur son rapport. Si c'était le cas, il aurait bel et bien menti par omission, et dans le cadre, en plus, d'une mission assermentée. Ce qui serait particulièrement grave.
Citation :
Reste que le chien a lié les galeries au lieu du crime, bien qu'on ne sait pas comment. Soit après le pull qui a resté en situ e.a., soit après les effluves d'un autre qui a parcouru le trajet, p.e. un des gendarmes ou une combinaison [l'homme au POR et un militaire dans la même personne]
Oui, d'accord aussi globalement.
Je ne pense pas (tant qu'on n'arrive pas à le prouver de manière suffisante) que le Maître-chien a donné le pull à sentir à Dirol, pour les raisons que je viens d'exposer.
Mais le chien a effectivement marché, en suivant la route, jusqu'à la hauteur du lieu du crime, en le dépassant de 30 mètres. Remis à l'aplomb, il s'est immobilisé, comme si la piste s'arrêtait (pour lui) à cet endroit.
Peut-être en effet à cause de l'odeur de cadavre dont vous faisiez état tout à l'heure (j'ai lu le fil que Ludivine a posté là-dessus, cette hypothèse est mentionnée).
Peut-être que Dirol a suivi un gendarme présent dans la champi, dont l'effluve était particulièrement forte (à présent, il va nous falloir chercher un gendarme sale

).
Peut-être que Dirol a suivi le(s) gendarme(s) qui avai(en)t touché le pull.
Peut-être qu'il n'a pas suivi de piste (j'y crois moins, mais même ce point ne peut pas être écarté pour le moment).
Bon … beaucoup d'hypothèses, et pour le moment pas de réponses là-dessus …