Citation :
D'où vient le terme 'paquet' ?
Nous le savons il figure dans le PV de Synthèse du capitaine Gras du 8 juin. L'officier le tiendrait de ce que lui ont rapporté ses subordonnés de Gréasque et de Rocquevaire, oralement puisqu'il n'y a aucune pièce écrite d'un échange entre Mr Aubert et les pandores ni le 4, ni le 5.
Il n'y a rien d'anormal à cela.
Citation :
Le capitaine écrit que les pièces seront fournies à chaque fois qu'une procédure a été enclenchée, il le fait pour la plainte de Martinez mais rien pour les supposés appels de Aubert ni sur l'échange entre Rocquevaire et Gréasque, ni sur les opérations du 4 après-midi et du 5 au matin (même la visite 'fantôme' de la galerie, le 4, suite à l'appel de Guazzone n'est pas consignée).
D'abord, les gendarmes ne se sont pas déplacés "suite à l'appel de Guazzone". S'ils sont bien allés à la galerie, c'est suite à l'appel de Aubert, qui a eu lieu après celui de Guazzone.
La plainte de Martinez a été "accessoirement" ajoutée au dossier de l'enlèvement. Il n'y a qu'à voir sont "ordre chronologique" dans le dossier. Ce document existé. Il n'a pas été crée par rapport à l'enlèvement.
Il n'y a aucune pièce qui fait état des différentes "actions" que vous citées.
Il n'y a pas plus de pièce, pour faire état de l'appel de la gendarmerie de Greasque à la brigade cynophile d'Arles et pourtant une équipe avec un chien est bien venue.
Il n'y a pas plus de pièce, pour faire état de la battue organisée à partir du carrefour de La Pomme et pourtant nous sommes sûr qu'elle a bien existée. Votre raisonnement est donc faux.
Citation :
Il semble qu'il n'y a pas que le terme 'paquet' qui pose problème dans ce PV,. Les opérations décrites des brigades concernées ne trouvent aucun écho et on peine à croire qu'elles (ces brigades) soient restées déconnectées d'un dispositif mis en place à l'échelon départemental pendant toute une longue journée.
Les opérations décrites...... Quelles opérations ?
les brigades concernées.... Quelles brigades ?
un dispositif mis en place à l'échelon départemental....... Quel dispositif ?
Citation :
Nous le savons et c'est bien la seule chose avérée à ce stade, les gendarmes possédaient la plainte de Martinez dès le 3 juin à 13 heures.
Oui la gendarmerie de Greasque seulement ............ et alors.
Citation :
Que le plaignant ait à ce moment parlé de 'gosse' ou pas n'est pas si important.
Ben si, c'est important. Le plaignant Martinez ne va parler d'un gosse que devant les policiers après que Ranucci ait craqué.
Citation :
Dès l'alerte de l'enlèvement donnée ou un peu plus tard, le gendarme réceptionnaire et ses supérieurs, pouvaient faire le rapprochement par la description du jeune homme, par la couleur de la voiture, par l'heure, par la direction du véhicule en cause dans l'accident et je ne parle pas du délit de fuite.
Par analogie avec les empreintes digitales, cela s'appelle des points de concordance. Mais pour les gendarmes de Greasque il y avait un point de "discordance". La voiture recherchée était une Simca 1100.
Citation :
Je ne parle pas au sujet du terme 'paquet' des évocations des journaux puisqu'il semble bien que les journalistes l'aient recueilli auprès des gendarmes près du talus,
Non, il n'y a que François Missen du Provençal qui parle d'un paquet et qui affirme le tenir d'un gendarme. Sur les photos du 5 juin auprès du talus, François Missen, nous le voyons. Les autres journalistes, nous les cherchons. D'ailleurs, quels autres journalistes. Vous avez des noms a nous donner ?
Citation :
le seul reporter en contact direct avec les témoins nous rapporte bien le terme 'enfant'...
Qui est-ce journaliste ?
Non, ce que vous dites est faux. Il y a au moins deux journalistes qui "tiennent" le paquet directement de Aubert.
Quand Marc Ciomey du Meridional fait dire à Aubert, "mais jamais je me serais douté qu'il s'agissait d'un enfant", c'est que Aubert sait que le corps a été retrouvé. Cela, il est facile de comprendre pourquoi il n'a pas pu le dire aux gendarmes.
Pareil avec Alex Panzani de la Marseillaise, il parle aussi du paquet et il donne des informations que les gendarmes n'ont pas pu donner.