Citation :
ou plutot il est possible de le faire que dans un seul cas !
de nuit !
Cette idée me plaît beaucoup.
Il y a une autre possibilité; le ravisseur-assassin avait l'intention de revenir une dernière fois sur les lieux de crime avant de reprendre la route et il en a été empêché par un événement imprévu ; un enlisement par exemple.
Je voudrais votre avis sur la présence du nécessaire à siphonner dans le coffre ; il y avait, vous le savez : un jerrycan (peut-être deux?) un tuyau de 1m 60 et nous le voyons sur la photo, un broc.
Cette panoplie servait-elle pour rouler à moindre frais au cours de ce week-end ? Où avait-il acheter ces ustensiles et quand ? Dommage que l'enquête ne nous renseigne pas.........
Citation :
Je suis d'accord avec vous, que le VI n'est pas utilisé pour couper les branches, ni l'Opinel , quant à moi. On ne peut pas scier avec des couteaux comme ça. Il est possible de les couper avec une serpette, quand elles ne sont pas trop épaisses, mais pour ça il faut mettre le pouce contre la branche et ce sont juste les branches minces, qui sont le mieux équipé d' épines.
Surtout ne pas mettre les doigts lorsque l'on se sert d'une serpette, ni devant ni ailleurs. Vous donnerez des coups de haut en bas comme vous le feriez, pour vous ouvrir un passage dans la jungle avec un coupe-coupe, par exemple.
J'ai essayé vaguement de couper les ajoncs d'ici avec un couteau, ce n'est guère concluant. Ça l'est je vous l'ai déjà écrit à la main nue (protégée tout de même, dans mon expérience avec un klennex), il suffit de plier la branche, au niveau du bois jusqu'à une première cassure et répéter l'opération deux ou trois fois puis arracher. En fait en moins de 10 secondes vous avez votre branche. Recommencer autant de fois que nécessaire. Le temps dépendra de votre motivation à parfaire le camouflage ; sommaire ou total et bien évidemment de la taille de la victime.
Citation :
Par contre la présence du sang sur la lame du VI n'exclut en rien qu'il est utilisé pour d'autres "travaux". Si ce couteau est utilisé lors du crime, le couteau a du moins une fois été très proche de la victime saignait déjà très fort, ça veut dire que les mains du meurtrier comme le couteau étaient trempés dans le sang. Le sang est donc entré dans tous les cavités du couteau. Même après lavage la lame ressortira de la fosse, tachée de sang, après clôture du couteau.
La petite nous le savons a été saignée...., alors qu'elle était probablement au sol. Les premiers coups , je parle du couteau étaient superficiels, boutonnières de 5mm, c'est-à -dire du bout de la lame. Prenant de l'hardiesse le tueur a enfoncé de plus en plus profondément la lame dans le cou de la victime, les blessures augmentant proportionnellement. Il est possible que les plus graves : jugulaire et carotide soient les dernières, le tueur s'écartant et avec lui son couteau des jaillissements les plus importants....