un plan calqué = forfaiture !!
c'est vous qui ne voyez rien, rendez vous service et changez d'ophtalmo !

Popol, que pensez-vous de ces gros plans de la murette du croquis et de celle du cadastre ?

_________________
Recouvrer l'esprit avant de perdre la tête. Mor.

Est-il besoin que je vous rappelle que je peux, sans erreur, vous retourner le compliment. Car vous semblez aimer cela, que je vous le répète.
Cela tombe bien car la répétition c'est la substantifique moelle de mon métier, en particulier pour ceux qui ont la compréhension difficile ! Et si vous vous sentez visé, il se pourrait bien que vous ayez raison !

répondez donc à moraucon si vous en avez le courage concernant le plan calqué !!

Accuser les policiers de forfaiture est, jusqu'à preuve du contraire, une diffamation.
Perrault a été condamné pour cela. Seriez-vous son élève ?
Quant à mon ophtalmo, ne vous inquiétez, j'ai une vue satisfaisante, en tous les cas bien supérieure aux 3 dioptries de qui vous savez.
A propos, vous m'y faites penser: avec ses 3 dioptries, Ranucci ne pouvait voir ni le platane, ni les garages, ni la murette, encore moins les enfants qui jouaient. Pouvait-il seulement voir la pointe de son crayon lorsqu'il dessinait le plan ?
La conclusion s'impose: Ranucci est innocent. Puisqu'il ne voit rien, il ne peut rien dessiner !

répondez donc à moraucon sur le plan calqué, vous vous débinez hein ?

Sur le fond:
il faudrait une expertise sérieuse faite par un expert sérieux pour prouver votre doute.
Moi aussi je suis troublé ,plus par le muret que par l'immeuble d'ailleurs.

Il est fort possible que les enquéteurs avaient un plan -extrait cadastral ou autre- et qu'ils s'en soient servi comme support pour que Ranucci indique l'endroit ou il a garé sa voiture,l'endroit ou il a vu les enfants,l'endroit par ou il est parti etcc...
Et d'ailleurs si on remet le plan dans le contexte,voici le moment ou il apparait dans les aveux:

Le petit garçon est parti de son côté pour rechercher la bête, je suis resté sur les lieux en compagnie de la fille.
Les souvenirs me reviennent et je suis en mesure de vous dessiner le plan des lieux. Je m’exécute.
Comme vous pouvez le constater sur ce plan, que je viens de dessiner de ma main , les enfants jouaient sur un trottoir qui longeait une rue en pente.
J’avais garé ma voiture en bas de cette pente, devant un immeuble situé à gauche , en bas de la rue.
Les enfants étaient sur le trottoir en face de l’immeuble. A cet endroit, la rue forme un léger virage.


J'ai mis en gras les mots qui apparaissent dans le plan.

On voit bien que le plan est une sorte d'illustration pour expliquer ou étaient situés les enfants.

C'est plus une illustration qu'un élément isolé tendant à prouver qu'il y était bien



Il y situe sa voiture ,comme dans les aveux;là il la positionne.
Il cite le mot immeuble ,le mot rue et le mot trottoir et ces 3 éléments sont reportés sur son dessin.

Donc on voit bien que ce plan illustre parfaitement ses aveux.Ils sont raccords entr'eux .
Ce sont les illustrations clés de ce qu'il est en train de dire.
Alors,est ce qu'un inspecteur l' a "aidé" à construire les éléments structuraux du plan ?faudrait demander à un expert.

_________________
La justice, c'est comme la Sainte Vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe

Tout cela figure dans la Marseillaise du 5 juin 74. Les policiers connaissaient déjà le lieu du kidnapping.
Ranucci ne leur a rien appris.

Perrault fut condamné, avec Alfonsi, pour avoir accusé, lors d'une émission de TV publique, les policiers de forfaiture concernant le PV de saisie du pantalon bleu et la manipulation découverte par la secrétaire de Bredin alors que la commission de révision avait déjà rejeté cette manipulation comme moyen de révision. Le plan n'a pas encore été rejeté par personne. Il faut donc vite promouvoir une expertise de ce plan afin de pouvoir le présenter à la commission pour qu'elle le rejette et que l'on puisse tous en choeur être condamnés.
Vous chargeriez-vous de cette promotion, Popol ?

_________________
Recouvrer l'esprit avant de perdre la tête. Mor.

Ils le savaient par les 2 témoins.

Ils voulaient la version du suspect

_________________
La justice, c'est comme la Sainte Vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe

Il ne faut pas autre chose que l'expertise de ce croquis pour établir s'il est décalqué ou pas. Le reste est une question pour les magistrats et les avocats. L'expert n'a ni à accuser ni à disculper à qui que ce soit. Ce seront les résultats de son expertise interprétés par les professionnels de la Justice qui pourront être à charge ou à décharge de C. Ranucci ou des policiers.

_________________
Recouvrer l'esprit avant de perdre la tête. Mor.

Je ne me défausse pas. Je vous ai répondu, mais vous n'avez pas compris le sens de ma réponse. Tant pis. Un jour peut-être, réussirez-vous à comprendre.
NB: n'avez-vous pas encore réalisé que je ne m'adressais pas à ceux qui ont l'insulte à la bouche, qui déforment mon pseudo de manière à le rendre ridicule ?
Rappelez-vous. En d'autres temps, Arlaten et vous, l'aviez fait.
J'ai recommencé à échanger avec vous lorsque vous avez abandonné cette méthode qui n'honore jamais celui qui la pratique.

Popol, mieux vaut que vous arrêtiez votre cirque. Les méthodes d'enfumage du fond de l'affaire que vous appliquez partout sous divers pseudos et vos constants geignements vous définissent parfaitement et forcent un diagnostic. Vous souffrez du syndrome du cloué là-haut sur la colline.

_________________
Recouvrer l'esprit avant de perdre la tête. Mor.

D'autre part, parlez du plan ou dégagez vers le fil détente.

_________________
Recouvrer l'esprit avant de perdre la tête. Mor.

Je ne suis pas tout-à-fait d'accord avec vous car dans ses aveux, Ranucci dit:
]"J’avais garé ma voiture en bas de cette pente, devant un immeuble situé à gauche , en bas de la rue. Les enfants étaient sur le trottoir en face de l’immeuble. A cet endroit, la rue forme un léger virage.
Aucune certitude que, par cette phrase, Ranucci signifie avoir garé sa voiture devant les garages comme le dit Jean dans son témoignage:
"Un homme en voiture est arrivé. Il a garé son auto devant un des garages. "
Le "devant l'immeuble" est trop imprécis pour qu'on en déduise qu'il s'agit des garages.
Une voiture garée le long du trottoir se trouve aussi "devant" l'immeuble.
La phrase de Ranucci laisserait plutôt entendre que sa voiture était garée en bas de la rue, comme l'aurait vue Spinelli.