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Mais pour le faire passer pour un menteur qui se contredit, elle a fait noter qu'il reconnaissait avoir dessiné le plan qui constitue la côte D24 pour insinuer clairement qu'il s'était bien rendu à la cité ste-Agnès.
Il dit qu'Elle lui a présenté le plan et qu'il reconnait l'avoir dessiné.Et il signe tout ça.
Les faits sont tétus!!!!!!
d'accord alors donc pour vous quand il dit qu'il n'est d'accord avec rien et qu'il ne croit plus en sa culpabilité,
A la réflexion,je crois qu'on peut résumer les choses ainsi:
Vous mettez les contradictions de cette interrogatoire sur le dos du "bourrage de crane" voire de la menace dont il se serait vaguement senti l'objet.
Parcontre pour moi ses contradictions sont telles quelles.Elles font partie du personnage.Regardez bien ses témoignages et vous verrez que ces contradictions apparaissent à d'autres moments;c'est un peu la tactique du pare feu comme lorsqu'il insiste lourdement sur le stop qu'il n'aurait pas grillé.Il croit minimiser sa responsabilité en déviant l'attention,tout en laissant quelque part la main à l'accusation:
le stop non grillé ne le dédouane absolument pas du crime ni de l'enlevement.Et là,meme chose,le plan
est un faux aveu qui en fait cache le vrai aveu.Un pare feu.
pourquoi coupez vous mon message ?
il manque l'essentiel : " ça veut forcément dire qu'il est bien allé à la cité ste-Agnès le 3 juin vers 11h-11h30 et que c'est lui qui a tué la petite avec le couteau puisque c'est lui, selon l'accusation, qui a indiqué précisément où était enterré le couteau ?"
ca vous gêne ? vous vous rendez bien compte qu'il y a forcément une manoeuvre de la juge...effectivement, comme vous dites, une sorte de bourrage du crâne .
On ne peut pas à la fois contester sa culpabilité et reconnaitre que l'on est coupable..C'est impossible ! C'est la façon la plus débile de se défendre.
malheureusement, vous êtes incapable de comprendre cela parce que vous êtes complètement aveuglé par les aveux.