Citation :
Aux deux incohérences de JacquesdeVillejuif, j'en ajoute une troisième.
Le franchissement du fossé, dont chacun a pu se rendre compte de la profondeur sur les photos de 1974, a dû poser un énorme problème à l'homme qui portait, selon Yargumo, la fillette enveloppée, ou non, dans un drap. Je ne connais pas le poids de Marie-Dolorès, mais il me semble que ce ne doit pas être très aisé de porter une fillette de 8 ans et franchir un fossé dont les bords sont plutôt abrupts et secs sans glisser. Sur une photo, on voit un gendarme qui aide la juge à monter sur le talus.
Il est plus vraisemblable que la fillette était debout et que l'homme la tirait par le bras.
Le fossé le voilà:
Fichier(s) joint(s) :
ldlc.JPG
Nous nous apercevons qu'il est plus large que profond. Surtout à cet endroit. Du coup, personne ne le saute. Le franchissement se fait en descendant dans le fossé.
De fossé, justement les Aubert n'en ont jamais parlé, ni aux policiers, ni à la juge.
Chez la juge, lors de la confrontation avec Ranucci, ils vont entendre parler d'un caniveau.
Donc après, dans leur déclaration respective, ils vont "intégrer" le caniveau, en le faisant sauter à l'enfant, chacun à sa façon.
Ils ne savaient pas que le "caniveau" faisait 1,40m de large et qu'il était impossible pour une fillette de 8 ans de le sauter.
Ce que racontent les Aubert à la juge, montre qu'ils n'ont vu, ni le fossé ni l'enfant.