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Donc, pour moi, le Forsonney n'est pas crédible quand il par le de ce couteau dont il ne sait rien du tout. De plus, il ne croyait pas tout à fait à l'innocence de son client mais était même plutôt enclin à croire à sa culpabilité. Ceci pouvant expliquer cela.
Mais alors quel jeu ignoble a-t-il joué Jean-François Le Forsonney ?
ce n'est pas un jeu ignoble.
simplement, le Forsonney ne s'est pas intéressé à son client et en tout cas certainement pas au couteau.
j'imagine que vous n'avez pas lu son livre alors vous devriez le faire.
On comprend qu'il n'a jamais interrogé son client à ce sujet et boum d'un coup, il nous sort que quelques jours avant le procès, Ranucci lui aurait dit que le couteau était bien à lui ! ça tombe comme un cheveu sur la soupe !
alors en lisant ça, on se dit qu'il va lui demander d'où il possède une telle arme, et bien non que nenni, l'avocat se contente de ça. Etonnant non ?
On sait que Ranucci niera au procès en être le propriétaire et confirmera ensuite dans son Récapitulatif.
Mais bien sur j'ai lu son livre, et plus d'une fois
Que Jean-François Le Forsonney ait été plus "obsédé" d'avoir confirmation de son client, que le couteau lui appartenait me parait plus judicieux que de savoir d'ou il le tenait, vu que RANUCCI avait déjà répondu à la question et qu'il ne se souvenait plus s'il l'avait acheté à Nice ou en Allemagne ?
oui voilà avec ce genre de raisonnement, les policiers peuvent dormir tranquille.
que les policiers ne l'aient pas interrogé sur ces points importants, on peut le comprendre, ils avaient sûrement des choses à cacher.
Mais l'avocat, non, je ne comprends pas. Pour défendre efficacement son client, il faut s'en donner les moyens et donc s'intéresser à lui et tout ce qui tourne autour de l'accusation.
Et vous, tout ce que vous trouvez à dire, c'est non non on s'en fout du couteau, l'essentiel c'est qu'il est à lui ! c'est bien, on progresse !
Si un bon flic aujourd'hui vous lisait, il serait mort de rire tellement c'est d'une indigence inquiétante et coupable !
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Imaginons que RANUCCI lui ait répondu 2 ans plus tard, "eureka, oui je me souviens, c'est à Nice que j'ai acheté ce couteau, dans la coutellerie untel, rue Lépante" ...
Que vouliez-vous que Jean-François Le Forsonney fasse de cette déclaration ?
ce n'est pas le cas donc sans intérêt pour moi !
Le fait que Ranucci n'ait pas pu indiquer comment il s'était procuré ce couteau devrait vous inquiéter un peu plus que cela. Mais je comprends que c'est beaucoup trop vous demander.
Vous êtes incapable de raisonner au delà des aveux.
JPASC ... Vous faites des constats qui n'apportent rien ... quand on vous pose une question simple à laquelle vous ne savez pas répondre, vous vous lancez dans des jugements de valeur sur vos contradicteurs qui n'apportent rien au débat ... essayez de vous renouveler, car personnellement, j'en ai rien à faire de vos appréciations sur ma personne, vous vous en doutez ...
Vu la "fixette" que vous faites sur la provenance du couteau, je vous pose une question simple
"Que vouliez-vous que Jean-François Le Forsonney fasse de cette déclaration ?", sous-entendu, si elle avait eu lieu
Vous n'avez d'autre réponse que :
"ce n'est pas le cas donc sans intérêt pour moi !"
Alors, votre "fixette", elle sert à quoi ? puisque vous etes incapable de pouvoir la motiver par une quelconque utilité ?
Un "bon flic", soucieux d'efficacité, serait consterné d'un "collaborateur" tel que vous, si peu pragmatique
