Il me semble qu'il y a une certaine confusion par rapport à mon dernier message de ce fil posté le 13 Jan 2008 à 21:25.
Je m'explique.
Hier, dans le cours de la discussion, notre amie Laurence parle de la notion de non assistance par anticipation.
Elle explique ce que c'est, donne un exemple et exprime son idée que si les Aubert ont vu l'enfant, cette notion s'applique, avis de gendarme à l'appui.
Jean-Pascal intervient pour dire que ce n'est pas le cas à son avis, dans la mesure où selon lui la scène de la fuite de l'individu avec l'enfant ne présente pas de signes de violence.
Il donne également un contre-exemple (par rapport à son hypothèse sur la nature de la scène) où manifestement cela devrait s'appliquer.
C'est là que j'interviens pour demander à JP ce qu'il pense de cette non assistance par anticipation par rapport à la situation que j'exprime dans ma question.
Mon but n'était bien sûr pas de dire que les Aubert auraient du faire ceci ou cela (*), mais de savoir (du moins, y réfléchir) si la question de la non assistance (avec ou sans anticipation d'ailleurs) est opportune (et vraisemblable) du point de vue des Aubert, des gendarmes et des policiers, tenant compte du cours (en partie supposé) des évènements et de l'évolution des témoignages.
(*) comment pourrais-je leur demander pareille intervention alors que pour moi les Aubert n'ont vu qu'une voiture après le tournant en épingle ?